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Messagepar sebhmet6 » 01 Juil 2019 22:35

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Bien le bonjour chers amis !

D'après Sebhmet6, vous êtes plus nombreux à avoir souhaiter un concours d'écriture. Grande fût ma joie lorsqu'elle m'a annoncé cela. Comme à son habitude, elle m'a confié la lourde tâche de vous présenter ce concours.
Avec les chaleurs caniculaires que nous avons eu, je n'ai eu d'autres choix que de vous proposer un thème d'été.

Ainsi, vous allez devoir écrire une histoire pour une créature de votre choix mais native de la quête des perles d'Aquahana, peu importe son année. Pour vous aider, voici leur portrait :
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Votre histoire doit se dérouler en plein été, que votre créature aime ou non la chaleur. L'été, c'est le temps des sorties, des rencontres bonnes comme mauvaises, des loisirs, de la farniente.... Excusez moi, je m'emballe souvent lors d'une énumération.

Bien, où en étais-je ? Ah oui, donc votre histoire doit se passer en plein été et cela doit donc se ressentir dans votre écrit et pas simplement en commençant votre histoire par "Un beau soir d'été", le champ lexical de l'été doit être présent tout au long de l'histoire.

La base du concours et les modèles étant donnés, voici les règles à respecter :
* Le français (grammaire/orthographe/conjugaison) doit être respecté
* Pas de sanglant, pas de sexe
* Votre histoire doit faire maximum l'équivalent d'une page word
* Un seul modèle par histoire, vous pouvez inclure quelques personnages secondaires bien sûr mais l'histoire doit vraiment tourner autour de la créature choisi
* Pas de limite de participation, en revanche, vous serez récompensé en fonction de votre meilleure participation
* Votre participation devra être rendu par MP avant le 31 juillet 20h. Aucune rallonge ne sera accordée.

Quelques infos supplémentaires :
* Attention à ne pas trop humaniser les créatures, éviter les vêtements, certains comportements humains comme être à table ou boire au verre
* Les créatures n'ont pas de personnalité définie
* Les créatures de visuels 1 et 3 sont des mâles et les visuels 2 et 4 sont des femelles
* Les créatures peuvent être de contrées différentes de celles affichées
* Vous pouvez changer le nom de la créature.
* Vous pouvez tourner votre histoire comme bon vous semble, une lettre, un poème, un récit, un conte, une fable, une ballade, un journal intime, une légende, un reportage.... *se reprend* Excusez moi de nouveau j'allais m'emporter.

Bien, je pense que vous avez toutes les infos nécessaires pour laisser libre court à votre imagination. Ah j'en vois qui se demandent déjà quels seront les lots. Et bien, comme toujours, Sebhmet6 n'en a pas encore décidé, tout dépendra de ce qui lui sera rendu pour ce concours. Mais étant donné que c'est moi qui vous présente ce concours, je peux vous dire que chacun recevra quelque chose pour sa participation et que lors des derniers concours des créatures rang diamant ont été remporté. Si elle est conquise par vos écrits, il est fort à parier que cela se reproduira ;)


A vos plumes chers amis écrivains et que la plume d'Hermès vous guide

PS : N'hésitez pas à poser vos questions et à laisser vos avis et remarques sur ce concours.







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sebhmet6
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Messagepar sebhmet6 » 01 Juil 2019 22:35

RESULTATS

Une fois de plus, vous vous êtes surpassés mais c'est un concours, c'est le coeur lourd que je me dois de faire un choix.

Ainsi en 4ème position, Fae. remporte Image
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Je courais sur la plage, la gueule grande ouverte et les oreilles au vent, filant à grande vitesse sur l'étendue de sable fin et encore chaud à cette heure tardive. Je sentais le vent me fouetter le visage et accélérai encore. Je me sentais revigoré, après une bonne baignade dans l'océan et la sensation du vent sur ma fourrure me faisait sentir plus libre que jamais. L'eau tiède m'avait rafraîchi. Je m'arrêtai après avoir parcouru une grande partie de la plage, quelque peu essoufflé, et me tournai vers l'eau rougeoyante. Le soleil se couchait et avait entamé sa descente, il avait à moitié disparu sous l'eau ; le ciel, quant à lui, était devenu rose orangé. La mer était calme, le doux clapotis des vagues me détendait et le bruit de ces dernières s'échouant sur le sable était agréable. Ce son familier avait le don de me faire sentir en paix. Je regardais l'astre rouge orangé disparaître complètement sous la mer, avec un sourire qui dévoila mes crocs. Lorsqu'il fut entièrement disparu, je restai quelques minutes à regarder le ciel se teinter peu à peu d'un bleu nuit puis je me détournai et partis d'un pas tranquille. Je marchais dans les rues illuminées avec des lampadaires, situés à une distance qui faisait que la lumière qu'ils émettaient formait un halo de lumière sur le sol, et où l'obscurité naissante reprenait ses droits sur un court mètre. Je déambulai dans la ville jusqu'à ce que le ciel fut constellé d'étoiles. La lune était pleine et lumineuse, j'aurai presque pu rentrer dans mon abri loué pour les vacances à la seule lumière de l'astre nocturne tant elle était brillante. Je me décidai finalement à rentrer dormir et repris le chemin vers ma tanière. Je me baignai rapidement dans la rivière à l'eau claire et translucide qui jouxtait l'endroit où je dormais, pour me débarrasser du sable qui était dans ma fourrure, resté après m'être roulé dans le sable. Courir ensuite sur la plage n'avait rien dû arranger ; après avoir passé une demi-heure dans l'océan et être resté une bonne partie de la soirée - soit quelques heures - sur la plage et dans la ville, l'eau salée de la mer avait imprégné le sable dans mon pelage et me donnait une odeur peu attirante. Je me frottai vigoureusement pour me débarrasser du sable. Une fois sorti, la fourrure lisse et dégoulinant, je fis ma toilette : je me léchai le corps. Puis, exténué, je me couchai au sol et plongeai rapidement dans un sommeil sans rêve.

Je me réveillai, les rayons du soleil matinal éclairant la tanière. Je me levai lentement, encore engourdi de ma courte nuit. Malheureusement, c'était ma dernière journée ici, alors je me motivais pour en profiter au maximum. Il est tôt, 6 heures du matin, me dis-je, donc j'aurai le temps de visiter un peu l'île et de me détendre une dernière fois à Trincomalee avant de retourner aux Maldives. Je marchai jusqu'à la rivière et me trempai en mettant ma tête sous l'eau afin de me réveiller. Par la suite, après avoir englouti une bonne partie d'un gros animal sauvage semblable à un minousha que j'avais chassé hier sur la plage, je quittai l'abri. J'entrai directement dans la rue où circulaient quelques voitures et retrouvai un Flamiris Sri Lankais du nom d'Aengus, avec lequel j'avais un peu sympathisé et qui m'avait invité chez lui. Il logeait dans une grotte et m'accueillit chaleureusement lorsqu'il me vit. Je lui demandai s'il n'y avait pas un bel endroit à visiter avant que je ne reparte sur une des îles des Maldives, recouverte sur la quasi-totalité d'une végétation dense, qui était l'endroit où j'avais élu domicile. Le Flamiris me parla d'un énorme et imposant rocher, qui se nommait Sigiriya, et d'où, selon lui, on avait une magnifique vue. Enjoué, je le questionnai afin de savoir s'il pouvait m'y emmener. Voyant ma mine enthousiaste, il accepta de m'y accompagner. Je montai sur son dos - le moyen le plus rapide pour nous d'aller à Sigiriya - et nous sortîmes de la grotte. Le dragon s'éleva dans les airs mais veilla à rester relativement bas pour lui, très voire trop haut pour moi, environ 2 000 mètres. Je contemplai, émerveillé, la mer, les villes et les forêts défiler sous mes yeux. Au bout d'une quinzaine de minutes, je distinguai le rocher à l'horizon et constatai que nous nous en approchions à grande vitesse. En à peine deux minutes, nous fûmes au-dessus du symbole de Sigiriya, ce qui faisait la popularité de la ville, et fûmes posés sur le roc. Je sautai du dos d'Aengus et tournai lentement sur moi-même en observant le paysage. C'était à couper le souffle. Je vis une parcelle où se trouvait des plantes vert foncé en contrebas, des arbres à perte de vue avec quelques plaines au milieu de la végétation, et la silhouette d'une chaîne de montagnes à l'horizon. Le rocher se déclinait sur plusieurs étages : nous nous trouvions sur le point culminant du rocher de Sigiriya, et nous pouvions descendre de quelques mètres pour nous retrouver sur une autre surface du roc, et ainsi de suite sur 4 de ces sortes d'étages. Je pris des photos du paysage, avec mon appareil photo qui ne me quittait presque jamais et que je gardais au cou. Le soleil d'été rayonnait et diffusait une chaleur intense. Le vent, quant à lui, soufflait fort et je crus m'envoler mais Aengus se plaça dos à moi, de façon à me couper du vent. Je le remerciai d'un sourire en me retournant et fis volte face pour découvrir en contrebas une sorte de lac sur le rocher. Étonnant ; or j'avais envie de me rafraîchir, alors je ne me posai pas plus de questions sur la façon dont une étendue d'eau avait pu se retrouver sur un rocher et je courus en descendant. Je plaçai l'une de mes pattes dans le liquide et le trouvai tiède, plus frais que la température extérieure ni trop froid pour autant. Je rentrai alors complètement et plongeai la tête sous l'eau. Le lac n'était pas très profond, j'avais pied, même si je pouvais tout de même être sous l'eau. Je m'écartai précipitamment lorsque je vis une ombre recouvrir tout le lac. Aengus vint se poser dedans - ou plutôt devrais-je dire se vautrer dedans - et je crus que la vague dûe à son atterrissage allait faire sortir l'eau de son nid. Il vida de moitié le volume de cette dernière et je soupirai, mi-amusé, mi-agacé. Nous restâmes longtemps à nous détendre dans l'eau puis nous dûmes partir car j'allais bientôt devoir rentrer chez moi. Aengus, dans son extrême gentillesse, voulut me ramener chez moi mais je refusai car il devait être fatigué d'avoir parcouru autant de distance afin de me faire voir le rocher de Sigiriya. Une fois arrivés, je le remerciai une dernière fois. Avant de quitter Trincomalee, je mis mes lunette de soleil sur le nez et pris des photos de la plage, mes dernières. J'en avais pris durant tout mon voyage et j'en étais très content car cela me ferait des souvenirs, de beaux souvenirs. Le soleil avait chauffé le sable et j'enfonçai mes pattes dans ce dernier en humant l'air marin sri lankais une dernière fois. Les yeux clos, je profitai de la chaleur estivale sur cette île ; j'espérais y retourner un jour. Je n'étais pas loin après tout, je pourrais sûrement, pensai-je. Lorsque j'eus trop chaud, je quittai la plage et je partis en quête d'un moyen pour retourner chez moi et je réussis finalement à trouver le Neptulys avec qui j'étais ami. L'idée m'était venue lorsque j'avais vu une tête de Neptulys dépasser hors de l'eau translucide de l'océan indien, alors que je contemplais une dernière fois le coucher de soleil sri lankais. Il me ramena chez moi et je fus content de me retrouver sur mon île, même si je savais que le Sri Lanka allait me manquer et que je me souviendrai longtemps de la beauté du pays et de ses habitants.

Ton histoire correspond totalement à la créature que tu as choisi, tu as même rajouté les photos dont elle parle dans ton MP. Je trouve que ça manque un peu de rythme, peut-être trop descriptif pour une biographie mais c'est sûrement dû à la créature photographe. L'histoire lui correspond bien dans l'ensemble d'ailleurs et tu as même rajouté les photos dans ton MP, c'est une bonne attention.

En 3ème position, Gothikadoll remporte Image
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Jour 1
Aujourd'hui sonne le grand départ de mes explorations d'été. Cela fait déjà des années que je prépare ce voyage, c'est dire s'il est important pour moi. J'ai quitté Aquahana de bon matin, c'est sur le dos du Neptulys qui m'amène à Gaïara que j'écris cette première page de journal, cela semble l'ennuyer je reprendrai donc à mon arrivée.

Installée au port devant une part de gâteau, je constate déjà deux choses maintenant que je suis assise posément. La première est la quantité de plantes différentes que je vois déjà autour de moi malgré le fait que je sois encore près du littoral, le printemps doit être magnifique ici. Et la seconde est l'immense forêt qui s'étend depuis la montagne qui sépare cette contrée de sa voisine. C'est par là bas que je vais continuer mon périple.

Florisine est une grande ville, il y a tant de choses à faire et à visiter que j'y ai passé ma journée. Je compte bien continuer ma route demain cependant. J'ai pu faire quelques photos de la capitale de Gaiara, mais j'ai encore du chemin à faire. Demain, direction la forêt de Linasia, et plus précisément le mont Céleste.

Jour 2
La marche a été longue, Gaïara est une contrée plus grande que ce que l'on m'avait décrit. Mais je suis parvenue à monter jusqu'à la porte du mont Céleste avant que le soleil ne se couche. Je n'ai pas pu visiter réellement les marais Kesuorith mais tant pis, j'ai eu l'occasion de traverser plaines et forêt et de grimper une montagne. Heureusement, il ne faut pas aller tout en haut puis redescendre pour rejoindre Sandisia, une grotte quasi naturelle est utilisée comme passage entre les deux contrées. C'est à l'entrée de cette grotte que j'écris ces lignes, le soleil se couchant petit à petit, me donnant de moins en moins de lumière. Demain je traverserai et visiterai enfin Sandisia.

Jour 3
Après avoir traversé le mont Céleste, je n'ai pas passé beaucoup de temps à Madâin' Hijr, le village dans les montagnes côté Sandisia, j'étais trop pressée de rejoindre Duno, la capitale. J'ai pu prendre quelques photos cependant, certains points de vue étaient assez impressionnants. Une fois dans le désert, j'ai presque regretté la fraîcheur de la pierre de la montagne. On m'avait parlé des ruines du palais Al Ackmehreb, mais je ne m'étais pas assez préparée pour ça et ai tracé mon chemin en quasi ligne droite jusqu'à Duno. Je ne me suis arrêtée que devant la porte de l'Orichalc blanc, une porte mystique s'ouvrant sur Renarhim. Mais mon but est la contrée de lumière Aydo'h, Renarhim n'est pas vraiment une destination accueillante, peut-être pour cet automne, à Halloween. Je suis donc en train de fondre littéralement dans une auberge à Duno, après avoir bu ce qui devait être ma quinzième écuelle d'eau fraîche. Je suis exténuée, je n'ai qu'une hâte, quitter cette région étouffante pour le soleil tendre de Aydo'h. Est-ce pareil en hiver ??

Jour 4
Qui aurait cru qu'une contrée si chaude de jour soit si froide la nuit ? Aujourd'hui je fonce vers l'Est, il faut absolument que je traverse les portes du soleil avant la tombée de la nuit.

Ça y est. J'y suis. Je n'ai qu'un mot qui me vient en tête pour décrire ces portes : impressionnant. Le soleil les traverse à l'aube et au crépuscule ce qui m'a donné un joli halo doré quand je les ai traversée. Je devrais demander à quelqu'un de prendre une photo, mais je ne voudrais pas déranger. Tant pis, je le referai, sans doute à l'aube cette fois. Il me faut désormais rejoindre l'oasis d'Astisio avant qu'il fasse noir, mais ça n'est pas si loin.

Quel plaisir de retrouver de la verdure. Cette oasis devrait être à Sandisia, clairement, ça ferait du bien aux voyageurs. Je vais passer la nuit ici. Sandisia a bien usé mon énergie, mais demain, direction la Tour Maline, puis Gallidaya et enfin Astisia.

Il me manque un petit peu le côté été et j'aurais peut-être mis des dates plutôt que des jours numérotés pour donner un rythme plus réaliste à ton journal. Ceci dit, j'aime beaucoup l'idée du journal de bord et le fait que tu fasses voyager la créature à travers GW, tu as sûrement été freinée par la limite de longueur car je suis sûre que c'est un journal que je continuerai à lire avec plaisir.

En 2ème position, Mykah remporte Image
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~ Lettre allégorique adressée à l’Été

Cher Été.
Aujourd’hui, par une chaude soirée de ta saison, j’ai décidé de t’écrire cette lettre.
Pourquoi ?
C’est ce que tu te demandes n’est-ce pas ?
Alors je vais te répondre.

Cher Été.
Tu es une belle saison, pleine de chaleur, de convivialité et de bonheur.
Mais…
Tu es aussi la saison mal aimée.
« Il fait trop chaud ! »
« Cette chaleur est insupportable ! »
« Il y a-t-il un peu d’ombre ? »
Ton soleil estival brille de mille feux dans le ciel clair, alors que les chaudes brises amènent les nuages loin de nous.
Ta chaleur, celle à laquelle nous pensons avec passion en plein hiver, cette chaleur même nous fait transpirer sous nos couches de poils.
Pourtant, malgré ces hautes températures, malgré toutes ces plaintes…
Nous t’aimons.

Cher Été.
Tu représentes pour nous tous la saison des sorties entre amis au clair de lune alors que la température devient enfin un peu plus supportable.
Tu es la belle saison, celle des longues journées ensoleillée, où nous pouvons flâner, envier les créatures au frais sous leur pelage imposant,
Tu représentes pour nous tous la saison des glaces, des rafraichissements, des vacances, des amusements, et surtout des baignades.
Alors au nom de toutes les créatures, je tenais à te dire…
Nous t’aimons.

Cher Été.
Je pourrai continuer à parler au nom de tous encore longtemps.
Mais je souhaite aussi m’exprimer pour moi.
Pour moi, tu es la merveilleuse saison où les eaux toujours agréables d’Aquahana se réchauffent un peu plus, et réchauffent nos âmes par la même occasion.
Pour moi, tu es la merveilleuse saison pendant laquelle je peux entièrement profiter de mon côté sirène, virevoltant dans des eaux calmes ou tumultueuses.
Pour moi, tu es la merveilleuse saison qui met en valeur tous les mystères cachés sur les terres d’Aquahana, mais surtout, ceux cachés dans ses eaux.
Pour moi, tu es la merveilleuse saison mettant en valeur le doré de mes crins.
Pour moi, tu es la merveilleuse saison qui me baigne de lumière et de joie.
Pour moi, tu es l’Été.
Une saison chaleureuse.
Une saison que j’aime.
Une saison sans laquelle je ne pourrai pas être.

Merci.

Lettre allégorique signée par Carpe Diem ~

Malgré la fin, il me manque autre chose de la créature et de GW. Je la trouve peut-être un peu trop générale. Malgré cela, l'éloge est vraiment bien faite, cette lettre est super.
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~ Cheferys poussa un soupir de soulagement en rentrant dans son terrier douillet et en s’effondrant sur le sol, épuisé. Pour la plupart des créatures, l’été rimait avec vacances, détente, sorties entre amis… Des milliers de créatures affluaient chaque année à Sandisia, échappant au soleil ardent d’Aydo’h et de la foule de baigneurs d’Aquahana. Mais pour le Stoufix, la belle saison était uniquement synonyme de dur labeur. Et le travail de Cheferys était laborieux, épuisant, à tel point qu’il ne lui laissait pas le temps de se reposer. Il chassa ses pensées, préférant se concentrer et profiter du moment présent. Cheferys adorait l’été, mais il était bien content de ne pas vivre dans une zone aride et torride… Il ressortit de son terrier pour profiter du climat plus humide et du vent frais caractéristique de la fin de journée, et observa le merveilleux crépuscule. La fatigue finit par avoir raison de lui, alors il mangea quelques baies avant de sombrer dans un sommeil sans rêve.
Le lendemain matin, la lourde température l’accueillit dès le réveil… Cette journée s’annonçait caniculaire ! Cheferys espéra que la sécheresse ne frapperait pas malgré les conditions météorologiques torrides, sinon son travail allait devenir bien plus compliqué, en plus d’être épuisant. Il se leva, mangea d’autres baies avant d’aller se dégourdir dans un des lacs isolés que l’on pouvait trouver sur ces terres.
Puis, il partit au travail.
Au milieu du désert de Sandisia.
Il se mit en place, sous le soleil éblouissant et déjà brulant. Cheferys n’osait même pas penser aux températures qu’il ferait lorsque le soleil serait à son équinoxe, avec ce ciel pur où aucun nuage ne semblait vouloir venir.…
Comme chaque été, il se demanda pourquoi il faisait ce travail. Servir de fontaines pour les autres créatures, afin qu’elles s’abreuvent et se rafraichissent alors que lui devait rester là, sans bouger, sous le soleil ardent. Il avait toujours apprécié sa particularité physique qui le rendait à moitié fontaine, et il était employé pour cela, mais, l’été, il souhaitait simplement être ailleurs. En vacances, comme les autres.
Il soupira en voyant les premières créatures arriver, son motif aquatique sur le ventre, ses roses et l’eau autour de lui le rendaient facilement repérable, et il se força à afficher un sourire. Il savait qu’il devait faire ce travail, abreuver et rafraichir ses créatures, pour éviter qu’elles ne perdent connaissance à cause des chaudes températures estivales. Une brise se leva, ni fraiche ni chaude, elle était tempéré et levait le sable, qui venait alors se nicher dans les yeux, les oreilles et la précieuse eau du Stoufix. Il poussa un nouveau soupir. Cette journée s’annonçait vraiment compliquée !
La journée passa avec une lenteur exagérée, et l’ensoleillement commençait à peser sur Cheferys qui faiblissait et cherchait des yeux un coin d’ombre.
Comme s’il allait en trouver un en plein désert…
Il ferma les yeux un instant et mangea quelques unes des verdures qu’il avait prévu le matin avant de venir. À sa grande surprise, une ombra arriva et lui offrit un peu de fraicheur et de répit face à ce soleil ardent. Il rouvrit les yeux et se retrouva face à une Stoufix, exactement comme lui : c’était une fontaine elle aussi ! Il releva les yeux et vit qu’elle avait apporté une ombrelle avec elle. Elle l’avait plantée devant lui, et avait prit place à l’ombre, aux côtés de Cheferys, sans un mot, attendant, comme lui, que des créatures viennent se rafraichir. Cheferys se traita intérieurement d’idiot : depuis des années il subissait la brûlure du soleil, alors qu’il lui aurait suffit d’amener une ombrelle… Il tendit une des feuilles de verdure à la Stoufix, la remerciant ainsi pour son geste, et elle s’en saisit avec un sourire.
Cheferys sourit à son tour. Finalement, la journée n’allait pas être si terrible. ~

Le début est un peu hésitant je trouve, peut-être un peu trop lent par rapport au reste de l'histoire. J'aime beaucoup la fonction que tu donnes à ce petit Stoufix. L'histoire est pleine d'émotions diverses. Elle se suffit à elle-même, tout comme on peut imaginer une suite.

Enfin, à la première place, Florence. remporte Image
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Des pas martelaient le sol, se rapprochant inexorablement. Ils faisaient trembler tout l’océan. Un silence, puis une énorme patte verte munie de griffes cauchemardesques apparut entre deux coraux, les seuls abris qui offraient une protection à notre héroïne. La bête arrêta d’avancer, on pouvait presque sentir son regard perçant et son souffle chaud. Notre héroïne n’avait plus le choix : elle fit taire en elle ce que le commun des mortels appelaient la «peur», et sauta par-dessus son abri improvisé afin de saisir son ennemi à la gorge. Mais l’animal l’attrapa par la queue.
-Amalie, ça fait bien dix minutes que je te cherche, tu as écouté ce que t’a dit ta mère ?
-Lâche-moi espèce de monstre à la noix, je suis Azalie, la grande guerrière ! Banzaï !
Le monstre la lâcha et la laissa retomber sur le sol.
-Eh bien, Azalie, je te confie la mission d’aller nous rapporter une cargaison de plantes toxiques en territoire ennemi !
-Tu veux dire, un panier d’algues sèches près de la plage ?
-Oui, enfin, si tu veux dîner.
-D’accord, papa...
Quelques instants plus tard, la jeune flamiris sous-marine se dirigeait vers la plage d’une nage habile et souple, un panier serré entre ses griffes. Elle était dans ses pensée, lorsqu’un objet contondant et brillant attira son attention au coin de l’œil. Elle s’arrêta et se dit qu’elle avait un peu de temps pour continuer ses explorations. Elle commença à murmurer pour elle-même :
-Attention, j’ai repéré un objet non identifié, il se peut que ce soit dangereux, je reste sur mes gardes, terminé. Je m’approche… Oui, c’est un code rouge ! C’est un… un… C’est un œuf ?
Effectivement, la jeune aventurière en herbe se trouvait devant un œuf de flamiris, reconnaissable aux longues griffes qui l’encerclaient. Et effectivement, il était rouge. Amalie regarda autour d’elle, de tous les côtés, mais il n’y avait pas âme qui vive à plusieurs kilomètres, personne ne s’aventurait jamais ici. Cet œuf était seul. Elle décida de le déposer dans son panier puis elle remonta à la surface et sortit la tête de l’eau. De là où elle était, elle pouvait voir la cause de la désertification de cette zone : la plage, emplie de touristes. Des créatures de toutes les espèces venaient ici se dorer au soleil, mais elles ne s’aventuraient jamais aussi loin et faisaient fuir les autochtones, car elles n’étaient pas réputées pour leur gentillesse. Ce n’était pas un endroit pour un œuf sans défense. Heureusement elle était née ici, et connaissait les lieux. Elle se dirigea vers une petite crique isolée et déserte, tenant toujours le panier contre son corps.
Quand elle surgit finalement de l’eau, l’écart entre la température de la mer et la température extérieure fut si fulgurante que la fine couche d’eau qui la protégeait fondit immédiatement, laissant ses écailles à la merci d’un soleil sans pitié. Ses yeux la brûlaient et elle avait du mal à se concentrer, mais quand elle en eut à nouveau l’usage, ce qu’elle vit la terrifia. Elle n’était pas la seule à avoir subitement souffert de la chaleur : elle avait lâché le panier qui était à quelques pas d’elle, et le petit œuf avait roulé sur le sable chaud. Et il était tout craquelé. La flamiris avait l’impression que le simple fait de le toucher le ferait s’effondrer en poussière. Plus âme qui vive ne pouvait y résider, à présent.
Elle fit lentement demi-tour : elle avait des algues a trouver. Les faire sécher ne devrait pas représenter un problème. Ce ne fût que lorsqu’elle toucha l’eau qu’elle entendit un craquement derrière elle. Elle tourna la tête. Un bec dépassait de l’œuf. Le petit était en bonne santé, il voulait sortir et le soleil avait assez fragilisé la coquille pour qu’il puisse en avoir la force. Elle fit rapidement demi-tour, mais n’osa toujours pas le toucher. Il en sorti une griffe, puis une aile, puis deux, puis encore une griffe, et enfin l’œuf ne fût peut-être plus qu’un petit tas de cendre, mais il avait été remplacé par un magnifique bébé flamiris, couleur du feu.
Et Amalie ne put s’empêcher de penser qu’il n’y avait pas mieux qu’une éclosion due à la sécheresse pour un petit flamiris volcanique.

J'ai eu un vrai coup de coeur pour ton historie. Elle est bien amenée, j'avais l'impression de regarder un dessin animé en te lisant. J'aurais presque envie d'avoir d'autres épisodes de ton attachante Amalie :P

Félicitations à vous 4 et merci encore pour vos précieuses histoires.

Sebhmet6 me fait également penser à vous dire que vous avez 7 jours pour récupérer votre lot.
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Messagepar Gothikadoll » 01 Juil 2019 23:03

Heya
moi qui me demandais si j'allais arbitrer ou participer au concours du topic d'écriture, je vais finalement pouvoir faire une participation du thème que je souhaitais entraîner et juger sur l'autre topic XD

par contre tu dis de ne pas trop humaniser les créatures, mais si je fais en sorte qu'une d'elle fasse un journal de voyage ça passe quand même si c'est un lunaris ? (lunaris, crayon tout ça tout ça) on peut considérer qu'il écrit avec sa petite bouche ?
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Messagepar sebhmet6 » 01 Juil 2019 23:36

Coucou gothi', contente que ce concours te tente.

Vous pouvez proposer une humanisation subtile, c'est à dire que si ton lunaris est reporter par exemple tu peux écrire "il prend des notes tout en essuyant la sueur de son front, la chaleur s'engouffrait dans sa fourrure créant ainsi un chauffage ambulant. Il lui fallait se désaltérer chez Pochtron, le tavernier du coin." mais évite les trucs du genre "les jambes croisés, assis sur son tabouret, le lunaris posa son carnet sur le comptoir pour enlever son débardeur qui lui collait à la peau. Il lui fallait une bonne bière au bar le plus proche"

Est-ce que tu comprend mieux avec cet exemple ?
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Messagepar Gothikadoll » 02 Juil 2019 01:50

c'est un peu extrême mais au moins c'est clair XD
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Messagepar Mykah » 02 Juil 2019 17:00

Coucou !

Je ne pense pas que ce soit une surprise, mais je compte bien participer ! :D
J'avoue que tu m'as fait un faux espoir, j'ai lu que ça devait être avec une créature des perles d'Aquahana, j'ai été toute contente à l'idée qu'un Neptulys soit dans le tas.. et non ! :lol: Mais ça me va quand même hein ! :mrgreen:

J'aime beaucoup ce thème imposé mais en même temps très libre, et j'adore l'idée d'imposer un début ! Aaah je vais m'amuser je sens !

Concours de Printemps chez les Abees !
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~ Merci à Yashura pour le dessin et le kit, ceci est un magnifique Neptulys idéal ~
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Messagepar Fæ. » 02 Juil 2019 22:36

Coucou !

Aaaah le concours est ouvert ! :D

Je vais participer, je pense, si j'oublie pas d'ailleurs :roll:

Je suis très contente de ce thème :3
Avec le mauvais temps en ce moment, la météo changeante, j'ai pas l'impression d'être en été ; me plonger dans la saison via ces créas, j'adore ! *-*

Merci, je pense que j'ai déjà une idée de la créa que je vais prendre, je vais essayer de faire plusieurs participations !

Juste, je suis sur téléphone, et apparemment j'ai Word (ouf !), mais je sais pas si une page sur téléphone équivaut à celle d'un ordinateur... :/
D'ailleurs j'ai une taille ou une police à prendre ? :)

Bonne soirée et merci pour le concours ! ^-^
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Messagepar Gothikadoll » 02 Juil 2019 23:29

Hello Fae, pour le téléphone une page word c'est pareil que sur ordi, à peu près 1000 mots pour une page si tu écris en times new roman 12
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Messagepar Fæ. » 03 Juil 2019 17:12

Coucou Gothi"

Super merci de ta réponse ! :D

Donc c'est ok, normalement j'ai tout pour pouvoir participer :3
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Messagepar sebhmet6 » 03 Juil 2019 22:59

Coucou les filles ^^,

oh Mykah, je suis désolée pour le faux espoir, j'avoue que je n'ai absolument pas pensé à inclure les paladins. J'y penserai pour le prochain concours écriture, rien que pour toi ^^

Fae., pour la limite de la page Word, c'est une base si ça dépasse de quelques lignes, je n'en ferai pas un drame ;)

Je me doutais bien que vous seriez de la partie pour ce concours toutes les 2 ^^

Merci gothi' d'avoir répondu ^^
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