Donc je propose ce topic pour rappeler certains "grands principes de base" et de conjugaison, mais aussi pour que chacun donne ses propres trucs et astuces pour faciliter l'écriture.
Bien sûr, je ne suis pas infaillible, donc si vous repérez une erreur, ou si vous avez vous-même des petits trucs qui peuvent aider, n'hésitez pas à me le dire
J'espère que ce sera bien compréhensible ^^'
Type de narrateur
Spoiler: show
Même si en général, le choix du type de narrateur s’impose de lui-même à l’auteur, il peut arriver qu’il ne sache pas quel point de vue adopter. Il en existe 3 différents :
Point de vue interne : Dans ce cas-là, le narrateur est l’un des personnages. Il nous raconte l’histoire et les évènements tels qu’il les voit, les vit, les ressent… C’est donc la première personne qui est utilisée dans le récit.
Ex : Je marche dans la rue en pensant à la journée qui vient de s’écouler.
Note : On peut aussi utiliser la troisième personne, mais ça ne change rien au fait qu'on ne connait les pensées que d'un seul personnage.
Point de vue externe : Là, le narrateur est un observateur de la scène. Il nous raconte donc les choses telles qu’il les voit, mais il ne connait pas les pensées des personnages. On utilise la troisième personne.
Ex : L’homme marche dans la rue.
Point de vue omniscient : Tout comme pour le point de vue externe, le narrateur est un observateur, à la différence qu’il sait tout de l’histoire, des personnages, des lieux… Il connaît les pensées et les sentiments des personnages, et peut raconter ce qu’il se passe simultanément dans deux endroits différents. Il en sait donc plus que les personnages et peut même révéler à l’avance ce qu’ils vont faire. Là aussi, on utilise la troisième personne.
Ex : L’homme marche dans la rue en pensant à la journée qui vient de s’écouler.
Avis personnel : Il peut être plus compliqué d'écrire à la première personne (donc d'un point de vue interne), parce que dans ce cas, on peut avoir plus de mal à se différencier du personnage. On risque donc de donner nos propres mots, nos propres réactions ou notre propre caractère au personnage plutôt que de lui donner sa propre personnalité.
Point de vue interne : Dans ce cas-là, le narrateur est l’un des personnages. Il nous raconte l’histoire et les évènements tels qu’il les voit, les vit, les ressent… C’est donc la première personne qui est utilisée dans le récit.
Ex : Je marche dans la rue en pensant à la journée qui vient de s’écouler.
Note : On peut aussi utiliser la troisième personne, mais ça ne change rien au fait qu'on ne connait les pensées que d'un seul personnage.
Point de vue externe : Là, le narrateur est un observateur de la scène. Il nous raconte donc les choses telles qu’il les voit, mais il ne connait pas les pensées des personnages. On utilise la troisième personne.
Ex : L’homme marche dans la rue.
Point de vue omniscient : Tout comme pour le point de vue externe, le narrateur est un observateur, à la différence qu’il sait tout de l’histoire, des personnages, des lieux… Il connaît les pensées et les sentiments des personnages, et peut raconter ce qu’il se passe simultanément dans deux endroits différents. Il en sait donc plus que les personnages et peut même révéler à l’avance ce qu’ils vont faire. Là aussi, on utilise la troisième personne.
Ex : L’homme marche dans la rue en pensant à la journée qui vient de s’écouler.
Avis personnel : Il peut être plus compliqué d'écrire à la première personne (donc d'un point de vue interne), parce que dans ce cas, on peut avoir plus de mal à se différencier du personnage. On risque donc de donner nos propres mots, nos propres réactions ou notre propre caractère au personnage plutôt que de lui donner sa propre personnalité.
Temps de narration
Spoiler: show
Tout comme le point de vue, le temps utilisé dans le récit vient généralement instinctivement à l’auteur, mais là aussi, il peut arriver que ce ne soit pas le cas. On utilise soit le passé, soit le présent.
Récit au passé : Dans un récit au passé, on utilise le passé simple pour les actions achevées, et l’imparfait pour les actions qui durent dans le temps ou pour décrire les décors.
Ex : Il écrivait tranquillement, mais l’ordinateur se figea et lui fit tout perdre.
Pour décrire un évènement antérieur, on utilisera le plus-que-parfait.
Ex : Ce jour-là, il boitait. La veille, il avait trébuché dans la forêt.
Récit au présent : Dans ce cas, on utilise le présent pour les actions, et le présent, l’imparfait et le passé composé pour décrire les décors.
Ex : Il écrit tranquillement, mais l’ordinateur se fige et lui fait tout perdre.
Pour décrire un évènement antérieur, on utilisera le passé composé.
Ex : Ce jour-là, il boite. La veille, il a trébuché dans la forêt.
Conseil personnel : Je vous conseille de choisir l’un des deux, mais de rester les plus possible dans le temps que vous aurez choisi. Il est plus compliqué pour le lecteur de s’y retrouver et de bien comprendre l’histoire si elle passe constamment du passé au présent.
Avis personnel : Avec les récits au présent, on a l’impression de découvrir d’avantage l’histoire au fur et à mesure, en même temps que les personnages, alors qu’avec les récits au passé, on fait mieux la distinction entre une action achevée et un évènement qui dure ou un décor qu’on décrit.
Ex : Il pleuvait dehors, alors il ouvrit son parapluie / Il pleut dehors, il ouvre son parapluie.
Récit au passé : Dans un récit au passé, on utilise le passé simple pour les actions achevées, et l’imparfait pour les actions qui durent dans le temps ou pour décrire les décors.
Ex : Il écrivait tranquillement, mais l’ordinateur se figea et lui fit tout perdre.
Pour décrire un évènement antérieur, on utilisera le plus-que-parfait.
Ex : Ce jour-là, il boitait. La veille, il avait trébuché dans la forêt.
Récit au présent : Dans ce cas, on utilise le présent pour les actions, et le présent, l’imparfait et le passé composé pour décrire les décors.
Ex : Il écrit tranquillement, mais l’ordinateur se fige et lui fait tout perdre.
Pour décrire un évènement antérieur, on utilisera le passé composé.
Ex : Ce jour-là, il boite. La veille, il a trébuché dans la forêt.
Conseil personnel : Je vous conseille de choisir l’un des deux, mais de rester les plus possible dans le temps que vous aurez choisi. Il est plus compliqué pour le lecteur de s’y retrouver et de bien comprendre l’histoire si elle passe constamment du passé au présent.
Avis personnel : Avec les récits au présent, on a l’impression de découvrir d’avantage l’histoire au fur et à mesure, en même temps que les personnages, alors qu’avec les récits au passé, on fait mieux la distinction entre une action achevée et un évènement qui dure ou un décor qu’on décrit.
Ex : Il pleuvait dehors, alors il ouvrit son parapluie / Il pleut dehors, il ouvre son parapluie.
Autres
Spoiler: show
Conseil personnel : Quand vous écrivez, je vous conseille de savoir un minimum les grandes lignes de votre histoire, ou au moins des évènements qui se dérouleront dans votre chapitre et, éventuellement, dans le suivant. Par exemple, quand vous finissez un chapitre sur l’arrivée d’un nouveau personnage, je vous conseille de savoir qui est ce personnage et ce qu’il va apporter aux autres protagonistes (ami ? ennemi ? neutre ? ennemi se faisant passé pour un ami ?...).
Si vous ne savez absolument pas où vous allez, vous risquez de vous retrouver bloqués, d’écrire des incohérences d’un chapitre à l’autre, ou le lecteur risque tout simplement de se rendre compte que vous ne savez pas ce qu’il va se passer, ce qui peut être gênant.
Si vous ne savez absolument pas où vous allez, vous risquez de vous retrouver bloqués, d’écrire des incohérences d’un chapitre à l’autre, ou le lecteur risque tout simplement de se rendre compte que vous ne savez pas ce qu’il va se passer, ce qui peut être gênant.
Rappels
Conjugaison
Spoiler: show
Comme on l’a vu dans la partie précédente, les temps les plus utilisés sont donc le présent, l’imparfait, le passé simple, le plus-que-parfait et le passé composé.
Pour les verbes du premier groupe (donc qui à l’infinitif, se terminent en -er), les conjugaisons se terminent pour le présent/l’imparfait/le passé simple en :
Je -e/-ais/-ai
Tu -es/-ais/-as
Il -e/-ait/-a
Nous -ons/-ions/-âmes
Vous -ez/-iez/-âtes
Ils -ent/-aient/-èrent
Ex : Je marche/marchais/marchai
Tu marches/marchais/marchas
Il marche/marchait/marcha
Nous marchons/marchions/marchâmes
Vous marchez/marchiez/marchâtes
Ils marchent/marchaient/marchèrent
Pour les verbes du deuxième groupe (donc qui à l’infinitif se terminent en -ir et qui, avec nous se terminent en -issons), ça donne :
Je -is/-issais/-is
Tu -is/-issais/-is
Il -it/-issait/-it
Nous -issons/-issions/-îmes
Vous -issez/-issiez/-îtes
Ils -issent/-issaient/-irent
Ex : Je finis/finissais/finis
Tu finis/finissais/finis
Il finit/finissait/finit
Nous finissons/finissions/finîmes
Vous finissez/finissiez/finîtes
Ils finissent/finissaient/finirent
Pour les verbes du troisième groupe (donc tous les autres), on obtient :
Pour ceux en -ir à l’infinitif, mais qui ne se terminent pas en -issons avec nous, quelques verbes en -oir et beaucoup de verbes en -re, ça donne :
Je -s/-ais/-is
Tu -s/-ais/-is
Il -t/-ait/-it
Nous -ons/-ions/-îmes
Vous -ez/-iez/-îtes
Ils -ent/-aient/-irent
Ex : Je dors/dormais/dormis
Tu dors/dormais/dormis
Il dort/dormait/dormit
Nous dormons/dormions/dormîmes
Vous dormez/dormiez/dormîtes
Ils dorment/dormirent/dormirent
Pour certains verbes en -re à l’infinitif, certains en -ir, et la plupart de ceux en -oir :
Je -s/-ais/-us
Tu -s/-ais/-us
Il -t/-ait/-us
Nous -sons/-aisions/-ûmes
Vous -sez/-aisiez/-ûtes
Ils -ent/-aisaient/-urent
Ex : Je plais/plaisais/plus
Tu plais/plaisais/plus
Il plait/plaisait/plut
Nous plaisons/plaisions/plûmes
Vous plaisez/plaisiez/plûtes
Ils plaisent/plaisaient/plurent
Pour les verbes tenir, venir et leur dérivés :
Je -iens/-ais/-ins
Tu -iens/-ais/-ins
Il -ient/-ait/-int
Nous -enons/-ions/-înmes
Vous -enez/-iez/-întes
Ils -iennent/-aient/-inrent
Ex : Je viens/venais/vins
Tu viens/venais/vins
Il vient/venait/vint
Nous venons/venions/vînmes
Vous venez/veniez/vîntes
Ils viennent/venaient/vinrent
Pour tous les verbes,
Le passé composé est formé de l’auxiliaire être ou avoir au présent, suivi du participe passé du verbe conjugué.
Le plus-que-parfait est formé de l’auxiliaire être ou avoir à l’imparfait, suivi du participe passé du verbe conjugué.
Dans nos histoires, il est possible qu’on utilise aussi le futur ou le conditionnel.
Pour le futur, les conjugaisons se terminent par :
Je -ai
Tu -as
Il -a
Nous -ons
Vous -ez
Ils -ont
Pour les verbes du premier groupe, on ajoute la terminaison à l’infinitif du verbe.
Ex : Je marcherai
Tu marcheras
Il marchera
Nous marcherons
Vous marcherez
Ils marcheront
Attention, les verbes en -yer changent le y en i.
Ex : Je paierai
Tu paieras
Il paiera
Nous paierons
Vous paierez
Ils paieront
Attention aussi aux verbes en -eler et en -eter qui doublent leur consonne.
Ex : Je jetterais
Tu jetteras
Il jettera
Nous jetterons
Vous jetterez
Ils jetteront
Seuls quelques verbes ne doublent pas la consonne et prennent un accent grave (les plus utilisés sont acheter, ciseler, démanteler, écarteler, fureter, geler, marteler, modeler, peler).
Ex : J’achèterai
Tu achèteras
Il achètera
Nous achèterons
Vous achèterez
Ils achèteront
Pour les verbes du deuxième groupe aussi, on ajoute les terminaisons à l’infinitif.
Ex : Je finirai
Tu finiras
Il finira
Nous finirons
Vous finirez
Ils finiront
Pour les verbes du troisième groupe, on ajoute aussi, dans la plupart des cas, les terminaisons à l’infinitif.
Ex : Je dormirai
Tu dormiras
Il dormira
Nous dormirons
Vous dormirez
Ils dormiront
Attention aux verbes dont l’infinitif se termine par un e, ils le perdent une fois conjugués au futur.
Ex : Je conclurai
Tu concluras
Il conclura
Nous conclurons
Vous conclurez
Ils concluront
Et certains verbes dont l’infinitif se termine en -ir, eux, perdent le i.
Ex : Je courrais
Tu courras
Il courra
Nous courrons
Vous courrez
Ils courront
Attention aussi aux verbes irréguliers comme faire, pouvoir, voir, recevoir, devoir, vouloir, valoir, savoir, tenir, venir, asseoir et cueillir qui changent de forme.
Ex : Je ferai / devrai
Tu feras / devras
Il fera / devra
Nous ferons / devrons
Vous ferez / devrez
Ils feront / devront
Les verbes être, avoir et aller sont un peu différents des autres et donnent :
Je serai / aurai / irai
Tu seras / auras / iras
Il sera / aura / ira
Nous serons / aurons / irons
Vous serez / aurez / irez
Ils seront / auront / iront
Les verbes falloir et pleuvoir ne se conjuguent qu’à la troisième personne :
Il faudra / pleuvra
Quand on exprime un conseil, une suggestion, un souhait, un reproche, une chose incertaine... on utilisera le conditionnel présent ou passé.
Pour le conditionnel présent, les terminaisons sont identiques à celles de l’imparfait, quelque soit le groupe du verbe.
Ex : Je marcherais / finirais / dormirais
Tu marcherais / finirais / dormirais
Il marcherait / finirait / dormirait
Nous marcherions / finirions / dormirions
Vous marcheriez / finiriez / dormiriez
Ils marcheraient / finiraient / dormiraient
Attention aux verbes payer, nettoyer et essuyer. Une fois conjugués, ils échangent le y contre un i.
Ex : Je paierais
Tu paierais
Il paierait
Nous paierions
Vous paieriez
Ils pairaient
Attention aussi aux verbes irréguliers tel que aller, avoir, courir, devoir, envoyer, être, mourir, pouvoir, recevoir, savoir, tenir, valoir, venir, voir, vouloir, faire, pleuvoir et falloir. Ces verbes changent une fois au conditionnel.
Ex : J’irais / courrais / aurais
Tu irais / courrais / aurais
Il irait / courrait / aurait
Nous irions / courrions / aurions
Vous iriez / courriez / auriez
Ils iraient / courraient / auraient
Pour le conditionnel passé, on utilise l’auxiliaire être ou avoir au conditionnel présent + participe passé.
Ex : J’aurais pu / serais rentré(e)
Tu aurais pu / serais rentré(e)
Il aurait pu / serait rentré
Nous aurions pu / serions rentré(e)s
Vous auriez pu / seriez rentré(e)s
Ils auraient pu / seraient rentrés
Souvent, quand on présente une condition ou une hypothèse, on utilise "si". Dans ce cas, il faut aussi faire attention au temps qu’on utilise. Comme on dit, les "si n’aiment pas les rais". Il y a plusieurs ensemble de temps possibles :
Si + présent, + futur
Ex : Si j’ai le temps, je travaillerai sur mon projet.
Si + imparfait, + conditionnel présent
Ex : Si j’avais le temps, je travaillerais sur mon projet.
Si + plus-que-parfait, + conditionnel passé
Ex : Si j’avais eu le temps, j’aurais travaillé sur mon projet.
Si + présent, + présent
Ex : Si tu veux, je te ramène.
Si + présent, + impératif
Ex : Si tu as le temps, fais-le.
On peut changer l’ordre de la phrase de condition, le sens reste le même. Lorsque "si" est au début de la phrase, il faut mettre une virgule pour séparer les deux parties (celle avec le "si" et l’autre), par contre, si le "si" se retrouve en milieu de phrase, la virgule s’efface.
Ex : Si vous écrivez une histoire, les gens liront.
Les gens liront si vous écrivez une histoire.
Ne jamais utiliser le conditionnel dans la partie de la phrase qui commence par si.
Astuce : Surtout pour les verbes du premier groupe, à la première personne du singulier, on hésite parfois entre la conjugaison en -ai et celle en -ais, dans ce cas, je vous conseille d’imaginer votre phrase à la deuxième personne : si la conjugaison se termine en -ais, c’est je -ais qu’il faut utiliser, mais si ça se finit en -as, il faut utiliser -ai.
Ex : Je marchai ou marchais dans la rue ? A la deuxième personne, ça donne : Tu marchais dans la rue. Conjugaison en -ais, donc ça donne Je marchais dans la rue.
Je tombai ou tombais dans le vide ? A la deuxième personne, ça donne : Tu tombas dans le vide. Conjugaison en -as, dons ça donne Je tombai dans le vide.
(Ca marche aussi si on imagine la phrase à la troisième personne au lieu de la deuxième)
Pour les verbes du premier groupe (donc qui à l’infinitif, se terminent en -er), les conjugaisons se terminent pour le présent/l’imparfait/le passé simple en :
Je -e/-ais/-ai
Tu -es/-ais/-as
Il -e/-ait/-a
Nous -ons/-ions/-âmes
Vous -ez/-iez/-âtes
Ils -ent/-aient/-èrent
Ex : Je marche/marchais/marchai
Tu marches/marchais/marchas
Il marche/marchait/marcha
Nous marchons/marchions/marchâmes
Vous marchez/marchiez/marchâtes
Ils marchent/marchaient/marchèrent
Pour les verbes du deuxième groupe (donc qui à l’infinitif se terminent en -ir et qui, avec nous se terminent en -issons), ça donne :
Je -is/-issais/-is
Tu -is/-issais/-is
Il -it/-issait/-it
Nous -issons/-issions/-îmes
Vous -issez/-issiez/-îtes
Ils -issent/-issaient/-irent
Ex : Je finis/finissais/finis
Tu finis/finissais/finis
Il finit/finissait/finit
Nous finissons/finissions/finîmes
Vous finissez/finissiez/finîtes
Ils finissent/finissaient/finirent
Pour les verbes du troisième groupe (donc tous les autres), on obtient :
Pour ceux en -ir à l’infinitif, mais qui ne se terminent pas en -issons avec nous, quelques verbes en -oir et beaucoup de verbes en -re, ça donne :
Je -s/-ais/-is
Tu -s/-ais/-is
Il -t/-ait/-it
Nous -ons/-ions/-îmes
Vous -ez/-iez/-îtes
Ils -ent/-aient/-irent
Ex : Je dors/dormais/dormis
Tu dors/dormais/dormis
Il dort/dormait/dormit
Nous dormons/dormions/dormîmes
Vous dormez/dormiez/dormîtes
Ils dorment/dormirent/dormirent
Pour certains verbes en -re à l’infinitif, certains en -ir, et la plupart de ceux en -oir :
Je -s/-ais/-us
Tu -s/-ais/-us
Il -t/-ait/-us
Nous -sons/-aisions/-ûmes
Vous -sez/-aisiez/-ûtes
Ils -ent/-aisaient/-urent
Ex : Je plais/plaisais/plus
Tu plais/plaisais/plus
Il plait/plaisait/plut
Nous plaisons/plaisions/plûmes
Vous plaisez/plaisiez/plûtes
Ils plaisent/plaisaient/plurent
Pour les verbes tenir, venir et leur dérivés :
Je -iens/-ais/-ins
Tu -iens/-ais/-ins
Il -ient/-ait/-int
Nous -enons/-ions/-înmes
Vous -enez/-iez/-întes
Ils -iennent/-aient/-inrent
Ex : Je viens/venais/vins
Tu viens/venais/vins
Il vient/venait/vint
Nous venons/venions/vînmes
Vous venez/veniez/vîntes
Ils viennent/venaient/vinrent
Pour tous les verbes,
Le passé composé est formé de l’auxiliaire être ou avoir au présent, suivi du participe passé du verbe conjugué.
Le plus-que-parfait est formé de l’auxiliaire être ou avoir à l’imparfait, suivi du participe passé du verbe conjugué.
Dans nos histoires, il est possible qu’on utilise aussi le futur ou le conditionnel.
Pour le futur, les conjugaisons se terminent par :
Je -ai
Tu -as
Il -a
Nous -ons
Vous -ez
Ils -ont
Pour les verbes du premier groupe, on ajoute la terminaison à l’infinitif du verbe.
Ex : Je marcherai
Tu marcheras
Il marchera
Nous marcherons
Vous marcherez
Ils marcheront
Attention, les verbes en -yer changent le y en i.
Ex : Je paierai
Tu paieras
Il paiera
Nous paierons
Vous paierez
Ils paieront
Attention aussi aux verbes en -eler et en -eter qui doublent leur consonne.
Ex : Je jetterais
Tu jetteras
Il jettera
Nous jetterons
Vous jetterez
Ils jetteront
Seuls quelques verbes ne doublent pas la consonne et prennent un accent grave (les plus utilisés sont acheter, ciseler, démanteler, écarteler, fureter, geler, marteler, modeler, peler).
Ex : J’achèterai
Tu achèteras
Il achètera
Nous achèterons
Vous achèterez
Ils achèteront
Pour les verbes du deuxième groupe aussi, on ajoute les terminaisons à l’infinitif.
Ex : Je finirai
Tu finiras
Il finira
Nous finirons
Vous finirez
Ils finiront
Pour les verbes du troisième groupe, on ajoute aussi, dans la plupart des cas, les terminaisons à l’infinitif.
Ex : Je dormirai
Tu dormiras
Il dormira
Nous dormirons
Vous dormirez
Ils dormiront
Attention aux verbes dont l’infinitif se termine par un e, ils le perdent une fois conjugués au futur.
Ex : Je conclurai
Tu concluras
Il conclura
Nous conclurons
Vous conclurez
Ils concluront
Et certains verbes dont l’infinitif se termine en -ir, eux, perdent le i.
Ex : Je courrais
Tu courras
Il courra
Nous courrons
Vous courrez
Ils courront
Attention aussi aux verbes irréguliers comme faire, pouvoir, voir, recevoir, devoir, vouloir, valoir, savoir, tenir, venir, asseoir et cueillir qui changent de forme.
Ex : Je ferai / devrai
Tu feras / devras
Il fera / devra
Nous ferons / devrons
Vous ferez / devrez
Ils feront / devront
Les verbes être, avoir et aller sont un peu différents des autres et donnent :
Je serai / aurai / irai
Tu seras / auras / iras
Il sera / aura / ira
Nous serons / aurons / irons
Vous serez / aurez / irez
Ils seront / auront / iront
Les verbes falloir et pleuvoir ne se conjuguent qu’à la troisième personne :
Il faudra / pleuvra
Quand on exprime un conseil, une suggestion, un souhait, un reproche, une chose incertaine... on utilisera le conditionnel présent ou passé.
Pour le conditionnel présent, les terminaisons sont identiques à celles de l’imparfait, quelque soit le groupe du verbe.
Ex : Je marcherais / finirais / dormirais
Tu marcherais / finirais / dormirais
Il marcherait / finirait / dormirait
Nous marcherions / finirions / dormirions
Vous marcheriez / finiriez / dormiriez
Ils marcheraient / finiraient / dormiraient
Attention aux verbes payer, nettoyer et essuyer. Une fois conjugués, ils échangent le y contre un i.
Ex : Je paierais
Tu paierais
Il paierait
Nous paierions
Vous paieriez
Ils pairaient
Attention aussi aux verbes irréguliers tel que aller, avoir, courir, devoir, envoyer, être, mourir, pouvoir, recevoir, savoir, tenir, valoir, venir, voir, vouloir, faire, pleuvoir et falloir. Ces verbes changent une fois au conditionnel.
Ex : J’irais / courrais / aurais
Tu irais / courrais / aurais
Il irait / courrait / aurait
Nous irions / courrions / aurions
Vous iriez / courriez / auriez
Ils iraient / courraient / auraient
Pour le conditionnel passé, on utilise l’auxiliaire être ou avoir au conditionnel présent + participe passé.
Ex : J’aurais pu / serais rentré(e)
Tu aurais pu / serais rentré(e)
Il aurait pu / serait rentré
Nous aurions pu / serions rentré(e)s
Vous auriez pu / seriez rentré(e)s
Ils auraient pu / seraient rentrés
Souvent, quand on présente une condition ou une hypothèse, on utilise "si". Dans ce cas, il faut aussi faire attention au temps qu’on utilise. Comme on dit, les "si n’aiment pas les rais". Il y a plusieurs ensemble de temps possibles :
Si + présent, + futur
Ex : Si j’ai le temps, je travaillerai sur mon projet.
Si + imparfait, + conditionnel présent
Ex : Si j’avais le temps, je travaillerais sur mon projet.
Si + plus-que-parfait, + conditionnel passé
Ex : Si j’avais eu le temps, j’aurais travaillé sur mon projet.
Si + présent, + présent
Ex : Si tu veux, je te ramène.
Si + présent, + impératif
Ex : Si tu as le temps, fais-le.
On peut changer l’ordre de la phrase de condition, le sens reste le même. Lorsque "si" est au début de la phrase, il faut mettre une virgule pour séparer les deux parties (celle avec le "si" et l’autre), par contre, si le "si" se retrouve en milieu de phrase, la virgule s’efface.
Ex : Si vous écrivez une histoire, les gens liront.
Les gens liront si vous écrivez une histoire.
Ne jamais utiliser le conditionnel dans la partie de la phrase qui commence par si.
Astuce : Surtout pour les verbes du premier groupe, à la première personne du singulier, on hésite parfois entre la conjugaison en -ai et celle en -ais, dans ce cas, je vous conseille d’imaginer votre phrase à la deuxième personne : si la conjugaison se termine en -ais, c’est je -ais qu’il faut utiliser, mais si ça se finit en -as, il faut utiliser -ai.
Ex : Je marchai ou marchais dans la rue ? A la deuxième personne, ça donne : Tu marchais dans la rue. Conjugaison en -ais, donc ça donne Je marchais dans la rue.
Je tombai ou tombais dans le vide ? A la deuxième personne, ça donne : Tu tombas dans le vide. Conjugaison en -as, dons ça donne Je tombai dans le vide.
(Ca marche aussi si on imagine la phrase à la troisième personne au lieu de la deuxième)
"Se" ou "ce"
Spoiler: show
A ne surtout pas confondre :
"Se" est utilisé uniquement avec un verbe pronominal. Il s’agit du pronom personnel réfléchit à la troisième personne et est généralement suivi du verbe.
Ex : Il se baigne / Elle se coiffe / Il se trompe
Dans tous les autres cas, on utilisera "ce". Il peut être :
Un déterminant démonstratif, dans ce cas, il est suivi d’un nom commun et peut être remplacé par le, un ou celui-là.
Ex : Ce chien me fait peur/Le chien me fait peur/Celui-là (de chien) me fait peur.
Un pronom démonstratif devant le verbe être.
Ex : Ce sera tout.
Un pronom démonstratif aussi lorsqu’il est suivi d’un pronom relatif : que, qui, qu’, dont…
Ex : Ce qui est certain, c’est que son chien me fait peur.
"Se" est utilisé uniquement avec un verbe pronominal. Il s’agit du pronom personnel réfléchit à la troisième personne et est généralement suivi du verbe.
Ex : Il se baigne / Elle se coiffe / Il se trompe
Dans tous les autres cas, on utilisera "ce". Il peut être :
Un déterminant démonstratif, dans ce cas, il est suivi d’un nom commun et peut être remplacé par le, un ou celui-là.
Ex : Ce chien me fait peur/Le chien me fait peur/Celui-là (de chien) me fait peur.
Un pronom démonstratif devant le verbe être.
Ex : Ce sera tout.
Un pronom démonstratif aussi lorsqu’il est suivi d’un pronom relatif : que, qui, qu’, dont…
Ex : Ce qui est certain, c’est que son chien me fait peur.
"A" ou "à"
Spoiler: show
Là aussi, à ne pas confondre.
"a" vient de la conjugaison de l’auxiliaire avoir. La phrase garde un sens si le "a" est remplacé par avais/avait.
Ex : Il a ou à tout mangé ? Ca donnerait, si on remplace par avait : Il avait tout mangé, la phrase garde un sens, donc ça donne Il a tout mangé.
"à" est une préposition. La phrase n’a plus de sens si on remplace le "à" par avais/avait.
Ex : Il est arrivé à ou a temps ? Ca donnerait, si on remplace par avait : Il est arrivé avait temps, ça n’a plus aucun sens, donc ça donne Il est arrivé à temps.
"a" vient de la conjugaison de l’auxiliaire avoir. La phrase garde un sens si le "a" est remplacé par avais/avait.
Ex : Il a ou à tout mangé ? Ca donnerait, si on remplace par avait : Il avait tout mangé, la phrase garde un sens, donc ça donne Il a tout mangé.
"à" est une préposition. La phrase n’a plus de sens si on remplace le "à" par avais/avait.
Ex : Il est arrivé à ou a temps ? Ca donnerait, si on remplace par avait : Il est arrivé avait temps, ça n’a plus aucun sens, donc ça donne Il est arrivé à temps.
"Tout" ou "tous"
Spoiler: show
Devant un nom, c’est un déterminant, donc il s’accorde en genre et en nombre avec le nom.
Ex : Tout enfant portera un manteau (ce qui revient à chaque enfant…)
Tous les enfants porteront un manteau
Toutes les filles porteront un manteau.
Dans ce cas, il peut être un adjectif indéfini et signifier "chaque".
Ex : Tout homme, Toutes sortes
Ou alors, être un adjectif qualificatif et signifier "entier", "la totalité de".
Ex: Tout le village, Tous les habitants
Devant un verbe, c’est un pronom indéfini, donc il varie et peut devenir toute(s) au féminin ou tous au masculin pluriel. Dans ce cas, il signifie "l'ensemble des choses ou de personnes"
Ex : Ne t’inquiète pas pour les bagages, tout suit (là, tout est utilisé dans un sens collectif, de groupe)
Ne t’inquiète pas pour les bagages, tous suivent (tous les bagages)
Ne t’inquiète pas pour les valises, toutes suivent (toutes les valises)
Devant un adjectif, c’est le plus souvent un adverbe de quantité et signifie "entièrement" ou "tout à fait", mais il peut être variable :
Devant un adjectif féminin qui commence par une consonne ou un h aspiré, tout se met au féminin et s’accorde en nombre, alors que devant une voyelle, tout reste invariable.
Ex : Elle est tout émue / elle est toute contente
Elles sont tout émues / elles sont toutes contentes
Devant un adjectif masculin, tout reste invariable.
Ex : Ils sont tout émus / Ils sont tout contents
Il peut également être un nom commun et est précédé d'un article. Au pluriel, on écrira "touts".
Ex: Le tout coûte 100 euros.
Ex : Tout enfant portera un manteau (ce qui revient à chaque enfant…)
Tous les enfants porteront un manteau
Toutes les filles porteront un manteau.
Dans ce cas, il peut être un adjectif indéfini et signifier "chaque".
Ex : Tout homme, Toutes sortes
Ou alors, être un adjectif qualificatif et signifier "entier", "la totalité de".
Ex: Tout le village, Tous les habitants
Devant un verbe, c’est un pronom indéfini, donc il varie et peut devenir toute(s) au féminin ou tous au masculin pluriel. Dans ce cas, il signifie "l'ensemble des choses ou de personnes"
Ex : Ne t’inquiète pas pour les bagages, tout suit (là, tout est utilisé dans un sens collectif, de groupe)
Ne t’inquiète pas pour les bagages, tous suivent (tous les bagages)
Ne t’inquiète pas pour les valises, toutes suivent (toutes les valises)
Devant un adjectif, c’est le plus souvent un adverbe de quantité et signifie "entièrement" ou "tout à fait", mais il peut être variable :
Devant un adjectif féminin qui commence par une consonne ou un h aspiré, tout se met au féminin et s’accorde en nombre, alors que devant une voyelle, tout reste invariable.
Ex : Elle est tout émue / elle est toute contente
Elles sont tout émues / elles sont toutes contentes
Devant un adjectif masculin, tout reste invariable.
Ex : Ils sont tout émus / Ils sont tout contents
Il peut également être un nom commun et est précédé d'un article. Au pluriel, on écrira "touts".
Ex: Le tout coûte 100 euros.
"Leur" ou "leurs"
Spoiler: show
"leur" est un pronom personnel et est placé juste devant ou derrière un verbe. C’est le pluriel de lui et est invariable (ne prend donc pas de s) et signifie "à eux" ou "à elles".
Ex : Les chats sont contents, je leur fais des caresses.
"leur" et "leurs" sont des déterminants possessifs, ils accompagnent donc un nom. On accorde en nombre, mais pas en genre.
Ex : Elles appellent leurs enfants et leur mère (chacune a plusieurs enfants, mais une seule mère)
Ex : Les chats sont contents, je leur fais des caresses.
"leur" et "leurs" sont des déterminants possessifs, ils accompagnent donc un nom. On accorde en nombre, mais pas en genre.
Ex : Elles appellent leurs enfants et leur mère (chacune a plusieurs enfants, mais une seule mère)
"Quand", "quant" ou "qu’en"
Spoiler: show
"quand" est une conjonction. Il exprime le temps et peut être remplacé par "lorsque", "au moment où", "pendant que"…
Ex : Quand il fait beau, on sort.
Il peut aussi être un adverbe pour exprimer une interrogation et peut être remplacé par "à quel moment".
Ex : Quand arrivera-t-il ?
"quant" est une locution et est suivi de à, au ou aux. On peut le remplacer par "en ce qui concerne" ou "pour ce qui concerne".
Ex : Je pars devant, quant à toi, tu restes là.
"qu’en" est formé de que (contracté en qu’) et de en. On peut le remplacer par "que… de cela".
Ex : Qu’en penses-tu ? (qui donnerait Que penses-tu de cela ?)
Ex : Quand il fait beau, on sort.
Il peut aussi être un adverbe pour exprimer une interrogation et peut être remplacé par "à quel moment".
Ex : Quand arrivera-t-il ?
"quant" est une locution et est suivi de à, au ou aux. On peut le remplacer par "en ce qui concerne" ou "pour ce qui concerne".
Ex : Je pars devant, quant à toi, tu restes là.
"qu’en" est formé de que (contracté en qu’) et de en. On peut le remplacer par "que… de cela".
Ex : Qu’en penses-tu ? (qui donnerait Que penses-tu de cela ?)
"C'est", "s'est", "ces" ou "ses"
Spoiler: show
"c’est" est un pronom démonstratif. Il est la contraction de "ceci/cela" et du verbe être. Il peut être suivi d’un nom, d’un pronom ou d’un adjectif.
Ex : C’est un garçon.
C’est lui.
C’est joli.
"s’est" est formé de se (pronom réfléchi) et du verbe être (c’est comme si on disait se être). Il se place après un nom ou un pronom sujet.
Ex : Il s’est mordu la langue.
Astuce : Si, en remplaçant la troisième personne par la première personne, on obtient "je me suis", c’est qu’il faut écrire il "s’est".
"ces" est un déterminant démonstratif et est suivi d’un nom au pluriel.
Ex : Ces ampoules éclairent mal.
"ses" est un déterminant possessif et s’emploie devant un nom au pluriel.
Ex : Elle aime ses animaux.
(Pour rappel, "sais" et "sait" se prononcent aussi de la même façon, mais sont la conjugaison au présent du verbe savoir à la première, deuxième ou troisième personne du singulier)
Ex : C’est un garçon.
C’est lui.
C’est joli.
"s’est" est formé de se (pronom réfléchi) et du verbe être (c’est comme si on disait se être). Il se place après un nom ou un pronom sujet.
Ex : Il s’est mordu la langue.
Astuce : Si, en remplaçant la troisième personne par la première personne, on obtient "je me suis", c’est qu’il faut écrire il "s’est".
"ces" est un déterminant démonstratif et est suivi d’un nom au pluriel.
Ex : Ces ampoules éclairent mal.
"ses" est un déterminant possessif et s’emploie devant un nom au pluriel.
Ex : Elle aime ses animaux.
(Pour rappel, "sais" et "sait" se prononcent aussi de la même façon, mais sont la conjugaison au présent du verbe savoir à la première, deuxième ou troisième personne du singulier)
"Ça", "çà" ou "sa"
Spoiler: show
"ça" est un pronom démonstratif et peut être remplacé par "ceci" ou "cela".
Ex : Ca me fait plaisir.
Ca va ?
"çà" est un adverbe de lieu et remplaçait "voici" ou "par ici" (on ne l’utilise plus beaucoup). Il signifie "d’un côté et de l’autre" dans l’expression çà et là.
"sa" est un adjectif possessif et peut être remplacé par la "sienne" ou par "ses". Il est suivi d’un nom.
Ex : Il a acheté sa voiture ici.
Ex : Ca me fait plaisir.
Ca va ?
"çà" est un adverbe de lieu et remplaçait "voici" ou "par ici" (on ne l’utilise plus beaucoup). Il signifie "d’un côté et de l’autre" dans l’expression çà et là.
"sa" est un adjectif possessif et peut être remplacé par la "sienne" ou par "ses". Il est suivi d’un nom.
Ex : Il a acheté sa voiture ici.
Accord avec l’auxiliaire avoir
Spoiler: show
Lorsqu’un verbe est conjugué avec l’auxiliaire avoir, on n’accord pas le participe passé SAUF si le complément d’objet direct est placé avant le verbe. S’il n’y en a pas, on n’accorde pas.
Ex : Le chat a mangé ou mangée la souris ? Le chat a mangé quoi ? La souris. La souris est après le participe passé, donc on n’accorde pas : Le chat a mangé la souris.
La souris que le chat a mangé ou mangée ? Le chat a mangé quoi ? La souris. La souris est avant le participe passé, donc on accorde : La souris que le chat a mangée.
Ex : Le chat a mangé ou mangée la souris ? Le chat a mangé quoi ? La souris. La souris est après le participe passé, donc on n’accorde pas : Le chat a mangé la souris.
La souris que le chat a mangé ou mangée ? Le chat a mangé quoi ? La souris. La souris est avant le participe passé, donc on accorde : La souris que le chat a mangée.
Les conseils de "Echo-77"
Spoiler: show
Echo-77 a écrit:Bonjour, bonsoir !
Tout d’abord, j’aimerais vous préciser que ce sujet est là pour vous aider à progresser ! Je sais qu’écrire une histoire n’est pas à la portée de tout le monde et que c’est un travail long et acharné. J’ai moi-même eu de grandes difficultés à écrire des textes, mais je n’ai pu m’améliorer qu’en recevant des critiques constructives et des avis qui, même négatifs, m’ont aidée à progresser.
Commençons par le… Ben, commencement.
Présentation
Ceci n’est pas un sujet miracle ! Il est difficile de suivre tous les conseils que je mets ici ! Moi-même, je vous avoue que je ne suis pas beaucoup ces règles ! Mais j’ai de l’expérience et j’ose avoir la prétention de vous aider. Je sais bien que mes histoires sont très loin d’être parfaites, mais quand j’en vois certaines, cela m’attriste énormément de voir que beaucoup d’idées absolument dantesques sont noyées sous plusieurs problèmes récurrents.
Je tiens également à dire que personne ne doit se sentir visé, ce sujet est créé pour tout le monde, donc ne croyez pas que je vous attaque directement !
Ceci dit, assez babillé, entrons dans le vif du sujet.
I) L’idée de base
Un matin, Emintrude se lève de bonne humeur. Elle a fait un rêve étrange cette nuit. Elle se connecte sur Gothicat World et inspecte ses créatures. Puis soudain, elle pense à son rêve, elle voit une de ses créatures, elle file tout droit dans la partie « Ecrivains en herbe ! » du forum et créé un nouveau sujet ! Ca y est, elle va une super fanfic, elle en certaine !
STOP.
Arrêt sur image. Quel est le problème de notre amie Emintrude ? Elle se lève, elle va sur Gothicat et tout de suite… Fanfic ! Eh bah non. C’est pas comme ça qu’on fait !
Notre chère Emintrude est tombée dans le piège le plus courant : une bonne idée convertie en fanfiction. Sauf qu’une idée, c’est quelque chose de très passager, qui file entre les doigts. Une idée peut être et doit être développée. Déjà, le réflexe « Nouveau topic » est à proscrire.
Commencez par ouvrir Microsoft Word, puis écrivez le titre de votre fiction. Vous devez noter toutes vos idées dans ce dossier. Réfléchissez aux débouchés de l’histoire. Plusieurs scénarios sont envisageables ! Prenons ceci :
Princesse capturée, un prince vient la sauver
Bien. Nous avons la trame principale. Mais cette trame doit s’accompagner de ce qu’on appelle des péripéties. Si notre prince se contente de partir à l’assaut du château, de monter trois marches et d’embrasser la princesse, c’est un peu court et même très nul. Du challenge ! Du défi ! Qu’on sente qu’il a des difficultés ! C’est parti pour la première péripétie !
Une princesse est capturée, le prince doit aller la sauver mais un dragon garde l’entrée du donjon.
Nous avons là notre premier ennemi : un dragon. Une grosse bestiole pas sympa et très puissante, capable de roussir un village entier ! Et bien sûr, le prince ne pourra pas le tuer tout seul, hein. Non, non, oubliez le prince tout-puissant créé par les dieux : nous verrons pourquoi.
Une princesse a été capturée ! Un chevalier d’un royaume voisin tente de la sauver pour toucher une récompense. Mais un dragon redoutable garde l’entrée du donjon. Notre chevalier, Enguerrand, décide de s’allier à une jeune magicienne afin de pénétrer dans la prison sans se faire repérer…
Bien ! C’est déjà plus palpitant ! En effet, nous connaissons le prénom de notre chevalier : Enguerrand. Ca fait vieux jeu mais Enguerrand en dit long sur lui : un battant, un guerrier ! Et il a but : s’en mettre plein les poches. Au diable l’amoureux transi, place au type qui cherche à profiter de la situation ! Et en plus, nous rajoutons une jeune magicienne. Il y a désormais deux filles dans l’histoire… Avec qui Enguerrand finira-t-il ?!
Malheureusement, Lyna, la magicienne, doit apprendre à maîtriser un sort de sommeil pour neutraliser le dragon. Les voilà partis à la recherche d’un vieux mage !
Voici maintenant notre seconde péripétie. La rencontre de la magicienne qui continue sur la recherche d’un vieux maître. Car bien sûr, ce serait trop facile si Lyna savait maîtriser tous les pouvoirs existants !
Après trois jours et trois nuits, ils finissent par atteindre la demeure du magicien. Celui-ci accepte d’entraîner Lyna en échange d’un lingot d’or !
Troisième péripétie, vlan ! Evidemment le vieux mage n’a pas envie de finir sur la paille et réclame un lingot d’or… Que nos héros ne possèdent pas : puisqu’Enguerrand veut une récompense, c’est qu’il est ruiné !
Vous voyez comment il est possible de créer une multitude de scénarios à partir d’une seule chose banale !
II) Les personnages
Emintrude regarda ses créatures et choisit sa préférée, un Stoufix violet appelé Luomi. Ce serait lui le héros de son histoire. Il serait gentil, intelligent, généreux, sociable mais il perdrait patience facilement ! Et il serait un héros grâce à sa capacité à copier les pouvoirs des autres ! Il aurait aussi une partenaire Minousha appelée Lévua, qui serait un peu bête et rigolote, mais qui aurait de très puissants pouvoirs car elle est l’élue des dieux ! Mais ça, ils ne le savent pas !
STOP !
Non, non ! Pas d’élue des dieux, pas de héros capable de tout faire, non !
Voyons ce qui ne va pas. Ces personnages sont appelés des Mary Sue. Une Mary Sue est un personnage surpuissant, qui a toutes les qualités du monde, bref, un personnage parfait.
Et pourquoi ne faut-il pas une Mary Sue dans une histoire ?
Parce qu’une histoire intéressante, c’est quand on voit les personnages évoluer, quand on en apprend plus au fil des chapitres, lorsqu’ils sont confrontés à des situations qui les dépassent… Puis l’un d’eux trouve une solution, ce qui lui offre l’admiration, la jalousie… Et c’est comme ça qu’on créé des relations intéressantes, des personnages charismatiques ! Surtout ne créez pas de Mary Sue… A moins que vous ne fassiez une fiction parodique où le personnage est une Mary Sue volontaire.
Question méchant, c’est la même chose. Et là, vous avez plusieurs possibilités :
Prenons une créature maltraitée dans son enfance. Elle peut devenir un bourreau, donc être méchante, tout comme elle peut chercher à se venger en prouvant qu’elle vaut quelque chose, ce qui aboutit à la rendre héroïque.
Un méchant qui veut s’approprier un pouvoir incroyable.
La compagne du héros qui, furieuse de voir que le héros fait n’importe quoi, décide de le remettre dans le droit chemin, ce qui la force à devenir méchante.
En gros, construisez un héros, puis faites un autre héros, et vous aurez un bon rival/méchant à opposer au protagoniste !
III) La langue française
Les fautes d’orthographe, les erreurs de grammaire, que c’est énervant pour le lecteur… Epargnez ses yeux et travaillez avec un dictionnaire ! Vous avez même des sites spécialisés dans la grammaire française. Tenez, voici le sujet qui contient tous les liens nécessaires :
http://www.gothicat-world.com/forum/vie ... =56&t=1151
Je ne vais pas épiloguer là-dessus, c’est le défaut principal d’une histoire.
IV) A ne pas faire
En me promenant sur le forum, j’ai donc vu nombres de fictions inspirées de… bingo, La Guerre des Clans. Il y en a tellement que je n’ai pas eu envie de les lire, bien que je sois une grande fan de cette saga. Savez-vous pourquoi ? Tout simplement parce que. C’est. Toujours. La même. Chose. Repomper le scénario d’un livre déjà existant ne sert absolument à rien, c’est une perte de temps ! Evidemment, si vous avez du mal à imaginer vos propres histoires, d’accord, essayez de vous inspirer d’autres écrits, mais ne prenez pas le scénario en bloc en changeant les noms des créatures et en disant « Ah mais non, c’est pas la même chose, tu vois, car moi ça se passe dans une montagne alors que LGDC c’est dans une forêt… »
C’est comme réécrire un livre en changeant les noms des personnages et les noms des lieux, ça ne sert strictement à rien. Désolée, mais ça doit sortir. Le pire, c’est que c’est puni par la loi : quelques centaines d’euros d’amende et parfois de la prison. On appelle ça le plagiat. Alors, si vous ne le saviez pas, maintenant, vous savez pourquoi c’est TRES dangereux de réécrire des livres, même si ça part d’un bon sentiment, à la base…
V) Derniers conseils
Emintrude se mit tout de suite au travail. Bonjour, comment tu t’appelles ? Moi c’est Luomi et toi ? Lévua !! Luomi entendit alors quelque chose ! ATTENTION !!! AAAAAAAAAAAH UN TRONC ! Mais Luomi bondit et cassa le tronc en utilisant un pouvoir ! Ouf, merci Luomi, tu m’as sauvé la vie ! Soyons amis ! D’accord !
STOOOOOOOOOOP ! Oui, encore ! Parce que ça, ce n’est pas une fanfic ! Non, ce n’est même rien du tout !
Dans une fanfiction, inutile de donner une couleur de parole à un personnage. Au premier coup d’œil, on doit savoir qui parle et quel est son sentiment. La langue française possède un vocabulaire vaste et empli de nombreux synonymes, inutile de mettre des onomatopées à rallonge comme « AAAAAAAAAAAAH !!!!! » accompagnées d’un milliard de points d’exclamations. Une fanfiction n’est pas un film ! Quand on la lit, on fait défiler les images dans sa tête, mais l’auteur ne doit pas faire comme s’il tournait un film. Avec seulement quelques lignes, on peut très bien imaginer ce qu’il se passe dans cette scène !
Chasseresse n’avait pas l’habitude d’être effrayée. Mais la vision de cet énorme Destrinos squelettique, qui se tenait avec fragilité sur ses jambes écorchées, au sourire cruel emplit de canines longues et ensanglantées avait paralysé la Minousha violette. Celle-ci hurla et se mit à courir en voyant se rapprocher, inexorablement, la monstrueuse créature, qui dans un fracas de sabots puissant se mouvait… Chasseresse appela à l’aide, mais personne ne répondit.
La même scène, réécrite par Emintrude :
Chasseresse : AAAAAAAAAH !!! CE DESTRINOS EST HORRIBLE !!
On aurait dit un squelette !
Chasseresse : IL SE RAPPROCHE ! NON AU SECOURS !!! A L’AIDE !!!
C’est pas la même chose, hein…
_________________________________________________________
Vous avez lu mon pavé ? Merci !
Je veux vous redire : je n’ai absolument rien contre vous. Je veux juste vous permettre d’écrire un peu mieux, de proposer des histoires originales ! Et bien écrites, évidemment !
Bien à vous,
Echo-77
EDIT!
J'ai oublié quelque chose de très important: ÉVITEZ DE PRÉSENTER LES PERSONNAGES!
Je veux dire, faire une liste de personnages avant la fiction... Ca me donne souvent envie de crier.
Moi, je les regarde, ces listes. Alors bon, c'est bien de montrer un visuel... Mais PAR PITIÉ, ne décrivez pas super précisément le caractère d'un de vos persos, n'allez pas détailler à mort son histoire... Parce que dès qu'on sait, tout devient sans saveur. En gros, c'est ça:
Bon voilà les gens je vais vous raconter une histoire, mais d'abord on présente le personnage... Voilà Lévua, elle est un peu stupide et elle a tous les pouvoirs qui existent, donc en gros elle pourra se débarrasser de n'importe qui mais comme elle est bête, il faudra qu'elle trouve le point faible des gens, sauf que j'ai pas envie de me casser la croupe à écrire des combats épiques alors on va dire qu'elle aura des sursauts d'intelligence qui seront présents comme par hasard durant les combats les plus durs, voilà... Si elle a tous les pouvoirs, c'est parce que c'est l'élue des dieux mais on l'apprendra que dans le chapitre 4, oh et sinon vous savez quoi, elle a un frère caché et c'est lui le méchant, d'ailleurs son frère est l'ancien apprenti d'un Paladin des Étoiles donc il a plein plein plein de pouvoirs super puissants mais ça on le saura qu'au chapitre 1452, ah et au fait vous saviez que Lévua aime le chocolat, mais ça on le saura que dans le dernier chapitre!
OK, je grossis un peu beaucoup le truc mais c'est globalement ça. Donc évitez de faire une liste avant l'histoire et si vous avez fait une liste, mettez-la sous spoiler...
Après on me dit que je pourrais éviter de regarder la liste mais, eh, je suis là pour vous embêter, moi.
D'ailleurs, vous avez souvent vu des listes de personnages dans les romans? Excepté pour La Guerre des Clans mais on parle seulement du physique des personnages, de leur Clan et de leur grade, et sans cela j'peux vous dire que je serai bien perdue, comme vous tous d'ailleurs. (question surprise: qui est Vif-Argent, dans quel tome meurt-il et à quel Clan appartient-il, quelle place détenait-il? pas le droit au livre pour vous aider, haha) Réponse: Vif-Argent est un guerrier du Clan du Tonnerre qui meurt dans le tome 4, c'est nul, j'adorais son nom, moi...
Les liens utiles de "Snowdreamer"
Spoiler: show
Snowdreamer a écrit:Coucou amateurs de lectures.
Ici je mettrai plein de petits trucs pour vous aidez à rédiger vos histoires.
OUTILS POUR ORTHOGRAPHE GRAMMAIRE ET CONJUGAISON
Dictionnaires:
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais *ajout par Ultimécia*
http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/ *ajout par Ultimécia*
http://dictionnaire.mediadico.com/
http://www.dictionnaire-synonymes.com/
http://synonymes.memodata.com/
http://www.le-dictionnaire.com/
Encyclopédies:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil
http://www.universalis.fr/
Conjugaison:
http://www.leconjugueur.com
http://perso.wanadoo.fr/xcotton/info/Conjugaison.msi (logiciel à installer)
http://www.la-conjugaison.fr/
Orthographe & Grammaire :
http://mapage.cybercable.fr/mp2/bof.zip (logiciel à installer)
http://ridercrazy.com/index.php?page=coursfr (site internet)
http://forum.hardware.fr/forum2.php?*** ... w=0&nojs=0
http://bonpatron.com/
LES DIALOGUES
Ils sont toujours au présent de l'indicatif. Je vais vous faire une liste de verbes pour vous aidez à faire vos dialogues. C'est vrai quoi. A chaque on retrouve dit-elle, questionna-t-il, cria-t-il...
Donc une liste de verbes s'imposent. ^0^
QuestionsDemander
Interroger
Questionner
ExclamationsCrier
Écrier
S'égosiller
Exclamer
Glapir
Hurler
Lancer
Scander
Vociférer
ChuchoterChuchoter
Marmonner
Murmurer
Souffler
Susurrer
AutresAjouter
Annoncer
Confirmer
Couper
Déclarer
Dire
S'Etonner
S'Excuser
Expliquer
Faire
Grogner
Gronder
Implorer
Interrompre
Intervenir
Ironiser
Lâcher
Ordonner
Plaider
Poursuivre
Prévenir
Promettre
Proposer
Protester
Rectifier
Répliquer
Répondre
Reprendre
Rétorquer
Soupçonner
LANGUES
Bien sur votre roman peut-être en Anglais, Français... Mais pourquoi ne pas mettre un peu d'elfique ou de dragonnais dans vos roman de Fantasy ?
>> http://madrabore.kanak.fr/t135-dictionnaire-elfique
>> http://www.skyrim-universe.com/forum/vi ... f=8&t=1796
>> http://www.mission-equitation.fr/forums ... c5741a0b1f
Quelques synonymes, par "Kiyiya-Mingan"
Spoiler: show
Kiyiya-Mingan a écrit:Bonjour à toutes et à tous!
Je sais qu'un topic recelait déjà de nombreux verbes pour varier les vôtres dans vos textes. Mais il ne parlait que des verbes de paroles. C'est pour cela que moi, KiyiCookie, j'ai décidé de créer un autre topic pour y faire venir d'autres verbes. Ce topic se complètera au fur et à mesure grâce à vos idées, de thèmes, mais aussi de verbes (évidemment patate)
Par contre, si vous pouviez éviter de balancer un mot en vrac avant de partir, cela serait sympathique ^^
Bon, une explication courte et sûrement incompréhensible mais bon...
Déplacement(courir, marcher,sauter):Se déplacer
Courir
Marcher
S'élancer
Trotter
Voguer
Parcourir
Bondir
Sauter
Se ruer
Trottiner
Se diriger (vers) (exemple : Bidule se dirigea vers le stand de cookies.)
Faire des pas (faire un pas, faire quelques pas)
Se glisser (exemple : Le chien Truc se glissa sous la table.)
Errer
Déambuler
Se précipiter
(Se) traîner
Ramper
Esquiver
Parler:- Parler
- Discuter
- Crier
- Proposer (ex : et si on allai là-bas ?, proposa truc)
- Suggérer (ex : ou là ?, suggéra machin)
- Dire
- Murmurer
- Chuchoter
- Chanter
- Répondre
- Prier
- Fulminer
- Demander
- (Se) promettre
- Clamer
- Hurler
- Supplier
- Répliquer (dans le cas d'une réponse)
- Aboyer (réponse sèche)
- Arguer (idem)
- Souffler
- Cracher
- Vociférer
- Susurrer
- Menacer
- Soupirer
-Marmonner
-Implorer
-Dégainer
-Balbutier
-Débiter
Penser :- Penser
- Songer
- Rêver
- Réfléchir
- Espérer
- Prier
- Deviner
- Fulminer
- Se demander
- Se promettre
- Se dire
-Imaginer
-Rêver
Voir!:- Voir
- Regarder
- Observer
- Dévisager
- Percevoir
- Contempler
- Examiner
- Apercevoir
- Discerner
- Constater
- Toiser (regarder de la tête au pieds)
- Balayer (Il balaya la pièce d'un œil furtif)
- Fixer
-Entrapercevoir
-Scruter
-Admirer
Odeurs:-Sentir
- Humer
- Renifler
- Inhaler
- Flairer
- Respirer
Toucher:- Toucher
- Palper
- Effleurer
- Caresser
- Saisir
- Heurter
- Marteler
- Tambouriner
- Tâter et Tâtonner