Les premiers sont des mini-mini-mini texte pour savouré les regards! ^^
Vert :
Spoiler: show
De tous les souvenirs que j'ai pu garder de lui. Celui qui reste le plus présent est son regard.
Je me souviens de ses yeux verts comme des lacs, au fond desquels reposeraient des émeraudes. Desquels la lumière du soleil en auraient été filtré du plus brillant des verts sauvages aux couleurs translucides des rives blanches.
Et des tempêtes que même Calypso n'aurait pu maîtriser.
Et des tristesses que même le plus pieu des poètes n'aurait pu lui soustraire.
Mais surtout, et plus que tout, c'est le souvenir de ces pierres précieuses animés des flammes que je lui insufflais qui me hante. Comme autant d'amour que jamais je ne pus lui contenter.
Je me souviens de ses yeux verts comme des lacs, au fond desquels reposeraient des émeraudes. Desquels la lumière du soleil en auraient été filtré du plus brillant des verts sauvages aux couleurs translucides des rives blanches.
Et des tempêtes que même Calypso n'aurait pu maîtriser.
Et des tristesses que même le plus pieu des poètes n'aurait pu lui soustraire.
Mais surtout, et plus que tout, c'est le souvenir de ces pierres précieuses animés des flammes que je lui insufflais qui me hante. Comme autant d'amour que jamais je ne pus lui contenter.
Bleu :
Spoiler: show
Il y avait d'abord la neige grise, comme un nuage de pluie.
Puis elle virait de teinte pour partir sur un bleu translucide, un bleu tendre et arriver au bleu merveille.
Il alanguissait mon âme d'extase aussi éphémère que les brumes froides qui assombrissaient son regard de glace.
Puis elle virait de teinte pour partir sur un bleu translucide, un bleu tendre et arriver au bleu merveille.
Il alanguissait mon âme d'extase aussi éphémère que les brumes froides qui assombrissaient son regard de glace.
Marron :
Spoiler: show
Tout autour il y avait le noir, l'amer.
Et au centre le lait, l'auburn, le chocolat caramélisé.
Celui qu'on veut prendre en bouche et laisser fondre avec délectation sur le palais et la langue.
Haaa, si j'avais pu m'emparer de ces orbes et les ingérer...
Et au centre le lait, l'auburn, le chocolat caramélisé.
Celui qu'on veut prendre en bouche et laisser fondre avec délectation sur le palais et la langue.
Haaa, si j'avais pu m'emparer de ces orbes et les ingérer...
Petits poèmes en vers libres ou non :
Spoiler: show
Ecosse
Là-bas, les vents violents,
Emportent les jours meilleurs,
Et fracasse contre les pierres,
Les dernier râles de l'été.
Là-bas, de sombres montagnes,
S'élèvent sous les nuages,
Et dissimule la vie endormie,
Sous une épaisse couche de neige.
Là-bas, la brulure de la glace,
Embrase la Lande et l'Estuaire,
Et gèle les cendres chaudes,
Jusqu'au prochaine printemps.
Là-bas, la brutalité de l'eau,
S'heurte au flegme de la terre,
Et le fracas assourdissant de la mer,
N'as d'égale que le silence des lacs.
Là-bas, les vents violents,
Emportent les jours meilleurs,
Et fracasse contre les pierres,
Les dernier râles de l'été.
Là-bas, de sombres montagnes,
S'élèvent sous les nuages,
Et dissimule la vie endormie,
Sous une épaisse couche de neige.
Là-bas, la brulure de la glace,
Embrase la Lande et l'Estuaire,
Et gèle les cendres chaudes,
Jusqu'au prochaine printemps.
Là-bas, la brutalité de l'eau,
S'heurte au flegme de la terre,
Et le fracas assourdissant de la mer,
N'as d'égale que le silence des lacs.
L'enterrement :
Spoiler: show
La ville était blanche,
Des murs aux rues,
Seul une ligne noir,
Striait l'endroit.
Le désert étouffé,
Sous le soleil d'été,
La ville illuminé,
Le blanc irradiée.
Le voile était noir,
S'étirant, s'élimant,
Des robes et filament,
Aussi sombre qu'émoi.
Des murs aux rues,
Seul une ligne noir,
Striait l'endroit.
Le désert étouffé,
Sous le soleil d'été,
La ville illuminé,
Le blanc irradiée.
Le voile était noir,
S'étirant, s'élimant,
Des robes et filament,
Aussi sombre qu'émoi.
Conte pour enfant : Le petit tas de cendre
Spoiler: show
Il était une fois, dans un monde merveilleux, un petit tas de cendre.
Dans ce monde, tous adoraient un rayon du soleil car ils savaient que quand son père, le grand soleil, vieillirais le jeune rayon serais le seul a veillait encore sur eux.
Tous l’aimaient, tous sauf notre petit tas de cendre car sa couleur noir le faisait se sentir brûler de l’intérieur dès que le rayon se rapprocher du petit monde et parfois même notre petit tas de cendre se voyait rougeoyais en son centre.
C’est la raison pour laquelle, notre petit tas de cendre préférait l’ombre du rayon de soleil.
L’ombre était bien plus patiente, bien plus gentille. Elle s’étendait le long des routes pour jouer avec les enfants. Elle rassemblait au près d’elle les animaux qu’elle dressait sans mal malgré leurs férocités naturel et dès qu’ils quittaient sont girons, ils reprenaient leurs instincts sauvages. Dès qu’il le pouvait, notre petit tas de cendre se mettrait près de l’ombre pour se rafraîchir.
Quand la nuit, la mère des ombres, tombée le petit tas de cendre s’imaginer être dans les bras de l’ombre du rayon de soleil. Il s’imaginait qu’ils resteraient dans cette position, immobiles, si longtemps que lui, petit tas de cendre deviendrait une jolie fleur.
Dans ce monde, tous adoraient un rayon du soleil car ils savaient que quand son père, le grand soleil, vieillirais le jeune rayon serais le seul a veillait encore sur eux.
Tous l’aimaient, tous sauf notre petit tas de cendre car sa couleur noir le faisait se sentir brûler de l’intérieur dès que le rayon se rapprocher du petit monde et parfois même notre petit tas de cendre se voyait rougeoyais en son centre.
C’est la raison pour laquelle, notre petit tas de cendre préférait l’ombre du rayon de soleil.
L’ombre était bien plus patiente, bien plus gentille. Elle s’étendait le long des routes pour jouer avec les enfants. Elle rassemblait au près d’elle les animaux qu’elle dressait sans mal malgré leurs férocités naturel et dès qu’ils quittaient sont girons, ils reprenaient leurs instincts sauvages. Dès qu’il le pouvait, notre petit tas de cendre se mettrait près de l’ombre pour se rafraîchir.
Quand la nuit, la mère des ombres, tombée le petit tas de cendre s’imaginer être dans les bras de l’ombre du rayon de soleil. Il s’imaginait qu’ils resteraient dans cette position, immobiles, si longtemps que lui, petit tas de cendre deviendrait une jolie fleur.
Voila! C'est tout pour le moment! ^^