Lettres concours de Noël 2018

[Sicahya]

lilie94

Aliya écrit une lettre à sa soeur Pyrène

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Chère soeur aujourd’hui, je me suis levé avec une envie de tout t'avouer : Tu es ma moitié depuis toujours, celle qui connait tout de moi. Avec toi, j’ai grandi, connu les joies de l’enfance. Tu es mon amie depuis toujours, avec qui j’ai tout partagé que ce soit la joie, le bonheur comme les pleurs et les peurs. Toi, ma soeur, qui as su essuyer mes larmes lorsque j’ai eu des chagrins. Toi qui penses aux autres et t’oublies parfois.
Chère soeur aujourd’hui, je pense à toi, je pense aux moments que l’on a partagé, à notre complicité, à nos fous rires et nos pleurs… Chaque moment passé à tes côté est resté dans mes souvenirs. Ma soeur aujourd’hui, je me rappelle à quel point nous étions heureuses de nous retrouver face à face pour parler de tout et de rien. Ton amour m’a aidé à grandir et devenir quelqu’un de bien. Ton amour m’a aidé à surmonter bien des épreuves difficiles, en sachant que quoi qu'il arrive tu me rattraperai. Avec toi, j’ai tout appris comme le fait que la vie vaut la peine d’être vécue, si l’amour est présent. Pour tout ce que tu as fait pour moi, toi ma soeur que je porte dans mon cœur.
Je souhaite pour tout cela te remercier de tout mon cœur, te remercier de ta présence, de ta gentillesse de ta compréhension, de tes conseils… À toi, ma sœur que j’aime tant !
Ma sœur, hier, aujourd’hui et demain tu as résidé, tu résides et résideras toujours dans mon cœur pour l'éternité. Quand je pense à toi, ma vie se remplit de douceur. Sache que Je t’aime d’un amour vrai et inné, toi ma sœur que j'aime tant.
Je serais toujours là pour toi, comme je sais que tu seras toujours là pour moi qu'importe l'heure.

Ta soeur Aliya qui t'aime tant

[Sicahya]

Vivie

ℳr. ℳarmotak dépose discrètement cette lettre adressée à son épouse, ℳme ℳarmotta, sur la rondelle de bois accolée à leur couchette.

« Ma douce Biscotte,

Nous sommes le 24 décembre au soir et, malgré de longues explorations effrénées, je n'ai su poser la patte sur cette rose de Noël, couleur émeraude, dont tu rêvais tant. Je sais à quel point elle aurait enchantée ta truffe & tes pupilles. Je me décide alors à t'écrire ces quelques pensées faites durant ces voyages, en souhaitant qu'elles t'apportent ce doux parfum manquant & réchauffent ainsi ton cœur.

À l'aube, dans ce sous-bois-ci, je vis le soleil s'éveiller au loin. Ses couleurs légères & attendrissantes m'ont rappelé la lueur que j'ai bonheur à contempler dans tes yeux chaque matin. Cette étincelle me transporte à chaque regard & je bascule incessamment dans cet océan d'émotions.

Quand le soleil afficha midi un autre jour, j'observais cette rivière. Ses chuchotements étaient semblables au son de ta voix ; l'eau demeurait calme & sereine à toute épreuve. Je me rappelais alors les notes de musique que tu prends plaisir à me partager en chantonnant à tue-tête.

Au crépuscule, par delà les montagnes, je traversais cet amas de rochers sous une tempête acharnée. Elle se révéla sévère et sublime à la fois. Je t'y retrouvais alors dans tous les dangers dont nous avons triomphé, patte dans la patte, grâce à ton courage & ta patience sans limite.

Cette nuit-là, je me réfugiais dans cette tanière, triste & froide, pour me protéger de la gelée naissante à l'extérieur. Cette fraîcheur engourdissait mon souffle & mes pattes jusqu'au moment où je m'imaginai ton pelage. Chaleureuse & réconfortante, l'illusion de ta douce robe suffit à soulager ma douleur.

Durant toutes mes expéditions, je remerciais la nature de m'épauler dans ces périples. Elle me montrait le chemin à chaque imprudence, me fascinait à chaque lumière, & me consolait à chaque naufrage. Elle était imprévisible & attentive, belle & inspirante. C'est, sans peine, tout ce que tu me donnes, ordinairement ; et pour lesquels je ne te remercie jamais assez. C'est cela qui rend tout instant passé à tes côtés extraordinaire.

À toi, ma précieuse & merveilleuse moitié, à ton amour infini, à notre amour éternel.»

[Sicahya]

Isalinea

A mon meilleur adversaire,
Celui qui fut comme un frère.

C'est dans la hâte que je t'écris, en route pour le saloon de la vieille Bismarh. Te rappelles-tu ? Aile dessus, patte dessous, à y faire les quatre cents coups... faut croire que ces histoires de snott-wël me rendent nostalgique. Et c'est en tête à tête avec mon café liégeois que ce soir, je le passerais.

Je me souviens du temps où on le fêtait ensemble. Toi qui te moquais de ma traditionnelle boisson, moi qui riais aux éclats en te voyant siroter maladroitement ton thé, la délicate tasse en porcelaine coincée entre tes crocs.

C'est pas souvent que ces souvenirs m'accompagnent. Parfois pourtant, cette désinvolte époque me manque. Mais les années, les différences d'idées nous ont éloigné. Et à défaut de croiser nos verres quand nos chemins se rencontrent à nouveau, nous croisons nos griffes.

Que veux-tu, nous sommes irrécupérables ! Caldelin lui-même ne pourrait rivaliser avec le feu qui nous anime !

D'ailleurs si j'en suis là aujourd'hui, c'est un peu grâce à toi. Vagabondant de contrée en contrée, découvrant milles paysages, créatures et magies. Car bien que nous ayons teinté les lunes de rouge, tu as avant tout dissipé l'obscurité. Tendu la patte à un flamiris sans rêve ni volonté.

«Qu'est-ce qu'il me barbe avec sa nostalgie à deux floryns», dois-tu penser en survolant ces lignes. Mais je tiens à te dire qu'aujourd'hui ce flamiris n'est plus et qu'à présent je rêve par moi-même. De soleils éclatant de lumière. Grâce à toi encore, mais d'une autre manière.

Bien sûr je le dois aussi un peu aux autres. Lysandre en particulier, même si je ne lui serais jamais autant reconnaissant. Qu'à toi qui est toujours un frère, dans l'adversité comme dans l'amitié.

Car je sais qu'un café liégeois commandé en mon nom m'attend au saloon. Comme l'année précédente et encore celle d'avant.

Que quelque part dans le froid de Renarhim, un lunaris faussement hargneux savoure tant bien que mal sa tasse de thé. Et qu'il lit cette lettre trouvée au pied du sanctuaire de Sangorah.

- Lucious

[Sicahya]

Lux0

A Petite Laine, Emily, Crackling Stars, Peter, Alfie et Mirca.

A vous mes amis,

Hors de nos jours sombres, Noël approche. Regardez dehors la ville qui scintille sous la neige, nous en bas de ces tours, de ces pierres. Au cœur de ces ruelles, en dessous de nos fenêtres en bois, la ville s'éprend du souffle des premiers flocons. La ville nous ferait oublier l'hiver, les passants oublient le froid et la misère. Mais la ville serait solitude avant d'être vie si vous n'aviez jamais été présents, trop éloignés...pourtant, je le sais qu'un jour nous nous serions rencontrés, par hasard ou destinés par nos cœur semblables.

Et je connais la solitude, je connais la peur et bien des peines...je connais aussi les matins où le soleil pénètre dans ma chambre sous les combles, j’entends chanter l'aube et oublie mes soucis. Puis je descends et le soir venu, dans la pénombre silencieuse, je remonte l'escalier qui grince sous mes petits pas. Je ne crains pas les matins, non. Je crains la nuit qui engloutie mes pensées, la nuit sans lumière où ressurgissent les souvenirs agréables ou tortueux...ces richesses sitôt exaltées, sitôt oubliées...alors j'émets un souhait: ce soir là elle renaitront, sous forme de la joie dans vos yeux, reflet de votre présence.

Oui cela sera possible, croyez y, sans rien d'autre que la magie sans laquelle Noël ne serait qu'un jour ordinaire de labeur et d'ennui. Par cette lettre, mes amis, je vous invite à une humble petite fête pour célébrer la préciosité de nos liens. Vous êtes ma famille. Ensemble nous allons fêter Noël, et pour nous le sapin brillera de mille couleurs. De cette nuit de Noël heureux nous nous souviendrons jusqu'à la fin. Mes remerciement se comptent en nombre d'étoiles, infinies telle l'imagination.

"Christmas Lights"

(expéditrice)

(destinataires)

[Sicahya]

Laucirie

"Merci à Toi maman,

Cela fait maintenant plusieurs jours que tu es partie pour refaire notre stock. J'espère que tout se passe bien pour toi. Tu m'as dit que je pouvais t'écrire quand je le voulais. J'ai hésité un moment avant de t'écrire ces quelques mots.
Mais le froid nous guette et rester enfermé dans ma chambre sans ta présence me rappelle à quel point il y a certaines choses que je ne te dis pas assez.

Tu sais, depuis que tu es partie, j'ai vraiment tout fait pour que l'auberge tienne. Je veux que tu sois fier de moi. Je ne t'ai pas rendu la vie facile et pourtant, tu as toujours été généreuse avec moi. Tu me présentes toujours comme ton fils, malgré les railleries... Mais Tous ces gens ne savent rien de nos vies.

Depuis que tu m'as trouvé et recueilli, tu ne m'as jamais abandonné. Tu m'as toujours soutenu, protégé. Et même si tu as raison, qu'il faut que je prenne mon envol et que je fasse ma propre vie... Je ne te l'ai jamais dit vraiment mais... J'aimerais pouvoir toujours vivre dans cette auberge qui m'a apporté la chaleur que j'avais perdu. Je veux rester auprès de celle qui ne m'a pas abandonnée. Je veux pouvoir porter fièrement les couleurs de tes tabliers et ce jusqu'à ce que tu ne veuilles plus de ton fils sous ton toit.

J'aimerais te l'écrire encore une fois. Merci, merci d'être là pour moi, merci d'être simplement là pour moi.

A très vite je l'espère.

Ton fils, Rex

Ps : Tout est prêt pour Noël. N'oublie pas le Gui. "

écrit à

[Sicahya]

loup8099

Depuis toujours on nous raconte des tas d'histoire. Je me disais qu'au fond il devait bien avoir un peu de magie dans ce monde. Je ne me posais pas trop de question sur toutes ces choses tel le Père Noel ou la petite souris, c'était comme si tout ceci était entouré d'un voile . Depuis j'ai grandi et je sais qu'aucun vieil homme habillé de rouge ne viens déposer des paquets au pied de notre sapin la nuit du 24 décembre. Je me rappelle avoir pleuré. Chaque enfant apprend un jour que les fées et autres contes n'existent pas. Mais au fond, cela n'a pas d'importance non ? Mes yeux n'ont jamais perdu la faculté de voir la magie . Beaucoup de personne passe leurs vies a chercher le bonheur. Mais il ne fait pas de bruit et on en se rend jamais compte quand il est la . Pourtant moi je la vois cette magie, je peux entendre le bonheur. Il est la, quand je suis avec vous. Merci d'être vous et d'être toujours présent pour moi. Je vous aime. La seule magie que je connaisse est celle qu'on crée avec les êtres qu'on aime. J'ai hâte que nous soyons réunis a nouveau pour les fêtes de Noel, mon coeur se réjouit d'avance de vous voir. Toutes ces balades, les repas ensemble, les rires et les discussions me font chaud au coeur !
Merci, merci.

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écrit a et au reste de sa famille .

[Sicahya]

ChanteFoudre

Merci

Opale de Nuit,
À Livius I de Goldenleaf

Forêt ancestral.
Ecrit le 7 des Flocons de Stellar Tabby.

Par cette nuit d'hiver tu m'a trouvée,
Entre le blanc de neige et noir de nuit,
De ma légende qui était contée:
La personnification de la nuit.
Ton regard était différent, si doux,
Aucun destrinos ne me vit ainsi.
Chaque nuit je me sens tel un bijoux,
Et fait disparaître tout mes soucis.
Je te remercie de ta confiance,
Ton honnêteté, ta joie, ton amour.
Ta présence est en moi une abondance
Et ton âme est pour moi un doux velours.
Je t'en supplit, sois mien à tout jamais,
Ensemble nous regnerons toujours en paix.

Ta chère et tendre, Opale de Nuit.

C'est qui ecrit a ♡

[Sicahya]

ToraAlia

De


À

À Aquahana, le 24 décembre 2018,

Boréal, Myst,

De tout mon cœur, je vous demande pardon. Je sais que les jours sont passés dans un silence parfait mais, croyez-moi, il ne s'en est pas passé un seul sans que je ne pense à vous. Je n'avais aucune idée de la meilleure façon de renouer nos liens, jusqu'à ce soir, où tout m'est apparu clairement. J'étais au coin du feu et admirais le sapin de Noël, embelli par toutes ces décorations faites de nos pattes, quand tous nos souvenirs communs me sont revenus. Ainsi, la seule façon de vous rattraper est peut-être de vous écrire avec le cœur...

Boréal, mon frère, mon complice, que ne donnerais-je pas pour qu'aujourd'hui tu te trouves auprès de moi ? Il y a tant de choses que je ne t'ai jamais dites, à commencer par « Merci ». Merci pour avoir été le frère dont nous pouvons tous rêver ; merci de m'avoir laissé grandir, de m'avoir protégé contre tout, de n'avoir jamais douté de mes peurs et de m'avoir rassuré, d'avoir effacé mes doutes jusqu'à m'accompagner vers le bon chemin. J'ai enfin conscience de la chance que j'ai alors, je t'en prie, reviens. Le monde est différent sans toi. Pardonne-moi mes erreurs une autre fois et souviens-toi de tout cela, toi aussi. Souviens de toi de ce frère qui te regardait avec tant de fierté, qui s'abreuvait de chacun de tes mots et qui t'aimait indéfiniment. Il n'a pas beaucoup changé, tu sais. Je t'aime mon frère, laisse-moi la chance de te le dire de vive voix.

Myst, la paix est revenu dans mon cœur. Je suis si sincèrement désolé d'avoir gâché notre belle amitié et de t'avoir blessé de la sorte. Je t'ai trahi alors que tu as toujours été d'une loyauté sans faille. Ta gentillesse, ta douceur ont été tant de fois le pansement de mes plaies et tes pitreries réussissaient à me faire rire dans les moments les plus difficiles. Tu as réconforté mon cœur blessé et rafistolé mon orgueil touché. Tu m'as accompagné dans mes pires bêtises et m'a couvert du courroux de mes parents. Tu étais l'amie que tout le monde espère. Tu m'as seulement demandé d'être le tien en retour et j'ai lamentablement échoué... Mais laisse-moi une autre chance, je serais ton confident et ton second pilier.

Je me réjouirais de votre bonheur. Car ce bonheur vous le méritait plus qu'aucune autre créature au monde. Vous êtes mes proches, mes amis, ma famille. Et à l'aube de ce jour, j'admire notre sapin et j'espère de tout mon cœur que ce Noël sera le plus beau de tous.

Blade

[Sicahya]

Ombre

Coin est l'auteur et Raven, le destinataire. Ils ne sont pas frère et soeur (de sang).

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Ma jumelle,

En cette période de Noël, d’amour et de partage, il y a tant de mots que je souhaiterais te dire que je t’écris cette lettre. Je les pense sincèrement mais peine à les exprimer, j’espère que tu ne m’en voudras pas de prendre cette forme, certes éternelle mais moins spontanée, pour te les dire.

Je t’aime. Tu es ma sœur d’âme, au sens littéral et non lyrique du terme, bien que nos corps physiques ne viennent pas du même sang. En te rencontrant, j’ai eu la sensation d’être complet, d’arriver au bout d’une quête dont je n’avais jamais eu conscience. Je ne suis pas et ne serai sûrement jamais ton amant, parce que ce n’est pas ce qui nous unit. Mais je t’aime, d’un amour ni amical, ni fraternel, ni amoureux mais bien plus puissant que ces trois-là réunis.
Merci. Parce que tu es là, chaque jour, à mes côtés, à supporter mes crises de colère, à me remettre à ma place lorsque j’en ai besoin ou à te blottir contre moi comme un Minousha. Je ne sais comment tu y parviens, mais tu fais toujours exactement ce dont j’ai besoin. Ce n’est pas toujours facile de remercier les gens et pourtant, tu es celle qui le mériterait le plus, tant j’éprouve de gratitude à ton égard.
Je serai toujours là pour toi. Parce que lorsque l’on rencontre quelqu’un d’aussi précieux que tu l’es à mes yeux, on ne le quitte plus jamais. Je serai là pour apaiser tes peines, essuyer tes larmes, me réjouir avec toi ou célébrer tes victoires. Même si tu te mettais à me détester, à refuser de me voir, tu resterais ma jumelle, celle pour qui j’accourrais à la moindre sollicitation.

Je ne pense pas que tu seras surprise de cette lettre. Après tout, n’es-tu pas ma jumelle quantique ? À toujours penser de la même manière que moi ? Peut-être même es-tu en train de m’écrire également quelques mots ? Voilà qui ne me surprendrait pas.
L’année se termine bientôt, j’espère débuter la nouvelle avec toi, pour la placer sous les meilleurs auspices.
Joyeux Noël !

Ton jumeau.

[Sicahya]

alwy

De
À

Sunny,
Je devine au moment où tu déchiffres ces quelques lignes désordonnées l'incompréhension qui doit t'habiter.
Moi, Naaby, dépeindre sur papiers les sentiments qui m'agitent continuellement ? Me livrer ainsi, si ouvertement, si simplement ?
Mais en ce soir de réveillon, je me dois de te raconter une histoire, à laquelle par gentillesse tu n'as jamais pu croire. Mon histoire.
Bien avant ton arrivée en ce lieu, j'occupais à moi seul cet univers nébuleux, contenté et bercé par une douce solitude à laquelle je ne savais remédier.
Et puis, à quoi bon m'en soucier ? C'était l'ordre naturel des choses, le rôle auquel il ne fallait que je m'oppose. Il fallait que je réponde présent, qu'importe si par la même occasion je devais subir ce silence pesant.
Et malgré tout tu es arrivée auprès de moi telle l'aube matinale qui surprend la quiétude de la nuit hivernale.
C'est ainsi que m'est venue cette évidence : quel sens donner à un ciel austral s'il en est dépourvu d'étoiles ? À quoi bon admirer cette obscurité épurée sans éclatantes lueurs pour mieux l'y distinguer ?
Je ne saurai jamais assez te remercier pour tout ce que tu as pu m'apporter. C'est par ta fraîche lumière et ton attitude égayée que j'ai pu à mon tour, d'étoiles me parer.
J'ai ce sentiment d'avoir enfin comblé ce vide qui petit à petit rendait mon cœur aride. Pourrais-je un jour t'apporter autant que l'intégrité que tu m'as fournie et que je recherchais tant ? Je l'ignore... mais je l'espère tellement !
Je ne peux t'assurer que d'une chose : tant que tu le désireras, je resterai à tes côtés et je m'assurerai que ta route soit parée d'autant d'étincelles qu'il y a d'astres dans le ciel.
Joyeux Noël, ma chère amie.