Bonjour à vous, chers voyageurs, voyageuses et voyageur.euse.s. Pour aujourd'hui, un petit temps de poésie que Lyoko conclura sur une parodie
Lorsque que deux loups se rencontrèrent,
Un loup solitaire,
Les regarda au travers
De la neige dont il était couvert.
Quelques mois plus tard,
Des louveteaux naquirent,
Il alla à la naissance du soir,
Rencontrer le Dieu des loups afin de les bénir.
Quelques années passèrent,
Et Aloès toujours solitaire,
Les regarda d’une certaine manière,
Lorsque qu’en cœur ils hurlèrent.
La lune resplendissait,
Car de sa couleur argent elle luisait,
Et son opale brillait,
Créant ainsi un cercle de lumière qui phosphorescait.
Les étoiles éclairant,
Comme un feu d’argent,
Leurs pelages gris et blancs.
Le Dieu des loups entendit leur chant,
Mélodieux, harmonieux et tout en même temps,
Mais aussi triste et lugubre comme le mauvais temps.
De leur famille maintenant,
Nous devons nous séparer,
Mais un jour peut-être en regardant,
La pluie tombée,
Enfin nous pourrions les rencontrer.
Belle ange à la chevelure d’argent
Qui es-tu pour resplendir d’une telle beauté ?
Tes ailes d’une éclatante blancheur
Te permettent de cacher la lueur de la Lune.
Dans le ciel tu es monté
Et tes gracieux mouvements
De vol scintillent plusieurs heures.
Mais si jamais tu fais la Une
Alors ton secret si bien gardé
Sera malheureusement dévoilé.
Alors précieusement tu devras le cacher
Et à tes amis dignes de confiance
Seulement le révéler
Sans jamais oublier un pas de danse.
Dans ce ballet avec la mort
Tu es la poudre de l’explosion
Et les balles qui causent du tort
Dans le feu de l’action.
La liberté, c’est le goût de l’aventurier
L’aventurier tient à son fidèle destrier
Ensemble ils vaincront leur destinée
Pour prouver leur valeur au monde entier.
Destrier aux allures majestueuses
Chevaux aux robes mystérieuses
Filant sous les nuages
Créature magique devançant les mirages
Redonnant espoir à ceux qui les voient
Ils galopent au gré de leurs envies
Distribuant le bonheur et la joie
De jour comme de nuit.
Cette monture magnifique
Avec laquelle on lie une amitié
Et on vit des instants magiques
Pour l’éternité.
Qu’elle soit pleine ou nouvelle,
Que ce soit le premier ou le dernier quartier
Elle nous fait toujours rêver
Et avec les étoiles elle nous émerveille.
La lune rousse
Ou sa face cachée
Les paysans en ont la frousse
Car elle tue les récoltes de blé.
Un astre sur lequel on a marché
Une planète qu’on a explorée
Qui chaque nuit nous éclaire,
De sa lumière blafarde
Le chemin de notre destin
A tout un chacun.
Qu’ils soient verts jaunes ou bleus
Qu’ils soient bavards ou silencieux
Ces êtres aux magnifiques plumages
Laissent partout une trace de leurs passages.
Les perroquets colorés
Passent leur temps à chanter
Et dans notre sillage
Laisse une note de leurs ramages.
De si jolis oiseaux
Qui pourrait colorer le ciel
Se retrouve éloigné du statut de merveilles
Enfermés entre des barreaux.
Privés de leur liberté
Ces oiseaux qui auraient pu nous enchanter
Dépérissent à longueur de journée
Car ils sont emprisonnés.
D’une faible lueur
Brillant au fond de ton cœur
Cette lumière de paix
C’est celle que tu gardais
Lorsque ton âme était tourmentée
Par quelques disputes insensées
Ou quelques moments douloureux
Où plus rien ne te rend heureux
Ce sont ceux qui la garde
Qui font que tu la reprends
Et en confiance tu les regarde
Sans plus rien cacher de tes sentiments
Cette lueur qui brille le soir
Son nom est l’espoir.
/!\AVERTISSEMENT: Le poème ci-dessous est fortement déconseillé aux âmes sensibles./!\
Et voici la parodie de : Des Gammes et des Arpèges (Les Aristochats)
Do mi sol do do sol mi do
Il est temps il est l'heure
De poser tes brillants pièges
Mais il faut faire attention aux chasseurs
En posant les pièges
Si nous voulons chaque jour un peu manger
Nos pièges doivent toujours être posés
Do mi sol mi do mi sol mi fa la do la do
Posons dans la forêt nos pièges
Do mi sol do do sol mi do do mi sol do do sol mi do
Ces pièges que l'on pose en forêt
Un beau jour serviront à d'autres essais
Et vous permettront d'avoir des mets
Posons nos pièges en forêt